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sea. LA PHOSPITORESCENCE.
SUR LA rrrosruor.rs-cixcr.
muse; mais lorsque cette lueur ddisparu , elle reste constamment ténébreuse tant qu'elle demeure dans les mêmes circonstances. Chauffée en plein air à. un degré voisin de l'ébullition,
parties. La facilité avec laquelle les sels acidulp-s , à l'exception des borates , .entrent en fusion , les rend inphosphorescens.. Le tartrite acide de potasse brille cependant, mais seulement par la'COmbustion de ses principes végétaux. Les sels volatils manifestent la même inphosphorescence. Enfin ceux qui contiennent une grande quantité d'oxydes métalliques non dissous', mais mêlés dans leur substance , ne présentent point de phosphorescence. En général , les substances qui attirent très - fortement l'humidité , ne brillent qu'autant qu'elles
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elle brille d'une belle lumière, d'une nature toute différente , puisqu'elle s'éteint dans l'acide carbonique , et se ranime dans l'air atmosphérique La première de ces deux ph.osphorescences est analogue à celle des substances
minérales, la seconde est une vraie combustion. Tous les oxydes métalliques faits par la calcination sont mphosphorescens , à moins n'aient passé à l'état de demi-vitrification.
Ceux qu'on obtient par la voie humide, per-
dent leur phosphorescence en les faisant sécher sur un filtre au-dessus de charbons ardens. Le phosphate de mercure résiste un peu plus longtems ; niais quand le papier du filtre commence à roussir, il laisse échapper une masse 'de lumière, après quoi il reste ténébreux comme
les autres. Tous les corps pourvus d'une trop grande quantité d'eau solidifiée ou d'eau de
cristallisation, sontinphosphorescens. La chaux -éteinte-à l'air est très-lumineuse dans un teins sec, et ténébreuse dans un air humide. Le carsboriate de chaux concrétionné ne donne que -quelques étincelles , celui de fbrmation -t'ive est très-phosphorescent par élévation de température. Toutes les substances qui se feudent ou se: ramollissent seulement sur le sup:port chaud , y restent ténébreuses. Beaucoup de mixtes -qui ne s'amollissent point à 2569, et qui luisent très-bien à ce degré de chaleur, de-viennent ténébreux dès que la température est _assez élevée pour commençer., à en désunir les
sont unies à une moindre quantité d'eau que celle qui pourrait les saturer , ou , comme on dit , les éteindre complétement ; mais il ne faut pas quelles en soient totalement privées. L'auteur a en particulier observé. l'influence :de cette circonstance sur la phosphorescence produite par' les terres alcalines en. contact avec l'acide sulfurique concentré. De petits morceaux de baryte caustique , aussi Secs qu'il est possible de se les procurer, ne
donnent aucune lueur lorsqu'on les laisse tomber dans cet acide , et ne s'y dissolvent pas d'abord. Humectés seulement par l'haleine .,. ils s'illuminent à l'instant'Où ils touchent et se convertissent en sulfate de baryte. Trop' humectés , ils redeviennent ténébreux. La Chaux- et la strontiane offrent les mêmes pliéiniMènes. D'après cette remarque sur la eau-thé -d'eau nécessaire à la, phosphorescence , l'auteur a fait des sulfates et munates de soude etde'potasse , et da fluate de chaux , privés de
toute phosphorescence, parce qu'ils l'étaient
'd'eau een se servant de dissolutiéns alcOoliques,