Journal des Mines (1810, volume 28) [Image 224]

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sur, LES PYROAILTRES, -précédentes en ont présenté dé pins considéra-

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hies; mais la température du dessous du four étant supérieure de 150 au riujins ce lie de l'intérieur, les n". 49 et 50- auraient 'dû indiquer

au moins 1400; niais deux,acc,idens, qui sedeprésentent assez fréquemment dans l'emploi ces solides, ont rendu fauSSeS les indications de ceux-ci. Le prentier,(ni". 4) s'était courbé dans le sens longitudinal (i), ce qui l'empêchait de, glisser entre les deux règles de l'instriiment jusqu'au degré auquel il serait parvenu s'il fût

demeuré -droit. L'autre (n.°. 5o) s'était outiert au centre comme len°. 43,. avec cette différence que la fente était perpendiculaire au Plan sur lequel se présente -le solide pour être Mesuré; ce qui, augmentant son diamètre, le'Yetenaitt en-deçà du point où il serait arrivé sans- cette' circonstance. Il ne faut point perdre de vue que ces expériences ont été faites à des époques différentes, n'a et qu'ainsi la température de l'attposplère mes- tiré? .à 'chaque fois qu'on a pu être la même les solides, soit avant; soit après les expériences. Il est donc probable que les rêgles de l'instrument étant fixées sur une platineinétallique; présentaient à chaque opérationPuS, ou moins d'écartement, selon le plus dà Moins d'élévation de la teMpérature atmosphérique. Les résultats ne peuvent donc être regardés comme strictement compa:ratifs, non-eulement d'une expérience à l'autre', mais encore, de l'entrée à la sortie du four, dans une -même expérience. (;) Voyez le premier Mémoire,

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84; page 434.

OU THERMONliTRES

TERRES CUITES, 41

Ainsi, les rapports trouvés entre les solides ne. l'ont lol'que pour chue opération partielle.' Lé défaut d'accord entre les résultats- est si évident par lui-même, que je me crois dispense de toutes réflexions tendantes à le faire ressortir. Il n'est pas seulement aux variations qui peuvent avoir lieu dans la retraite plu' sieurs autres causes relatives, soit à laina:Lure, soit à la forme , tant des solides que de l'ins-

trument à. l'aide duquel on les mesure , concourent également à le. produire. Qu'on ne supposepas que les anomalies qui se trouvent ici soient dues à quelque drii'Ce tance particulière , telle que pourrait «t'el lun défaut deperfectiorr duits l'instrument a.vèfé:,; quel les expériences ont été faites. .1,el0bL serve de to ut aussi considérables en ppératitaVéq Celui de M. Darcet'.? S': Qu'on ne creye pas ricin plus que ces an omarie4

'sortent 'de lordi,iaire , et qu'elles 'ne syrne-' sentent pas journellement dans leWtraVati'eP)ri grand. Il est bien reconnu, en fabrications eérca2

Iniques, que la retraite qu'éprouvent les subs= tafibes argileuses , self 'par la cuisScin, soft'Par' lasuriple dessication, est 'subordonnée àll'à--1Pn-:

tent eit,`à"la rapidité de ces opérations; et que, toute S i'hoses égales.d%i,lleurs und substance argile.n se , cuite 'ou, dégséchée tem'jlit?;'`ke'2, qineri Plus de retraite q`'n'e,Torsqu'elle .arté

oi desséchée rapidement. D'où il' suit .1;gile à laquelle on aura appliqué une tenip,e quelconque, eneyne heure deux, : à '1,1,11:feu n de forge , n'aura 'point' aces la Mêi-rie retraite fin celle qui eeee.. sera r earvénité I

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