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SUR LES .PYROMTRES, etc.
oniivera..que la retraite des substaric' es argileuses peut servir, comme en effet elle sert tous les fours , sous différens noms, comparer :des températures obtenues dans les mêmes circonstances: C'est ainsi que, dans la cuisson des fictilei:, laquelle s'opère tou-
jours à -peu -près de 'la même manière et dans le même lems , les fabricans règlent leurs températures , soit au moyen de solides
DU FER HYDRATÉ CoN si D
comme espèce minéralogique.
Par M. D'Aunuissorr , Ingénieur au Corps impérial des Mines.
qui , depuis vipgt ans, a déterminé l'essence d'un si grand nombre de minéraux , semblait avoir oublié la substance minérale peut-être la plus utile. et
pyrométriques, soit au moyen d'autres pièces (i) qui mi tiennent lieu, ruais tarit 'qu'on n'aura 'pas déterminé l'influence que la durée
LA chimie analytique
et le mode d'application du calorique Peuvent exercer sur la retraite de l'argile, un pyromètre fondé sur cette propriété , fût il d'ailleurs aussi . parfairdans la confection,Équ'on -voildra le suiposer, ne pourra servir a comparer des températures dont la durée et le mode d'application ne seront pas semblables. Ainsi, en admettant les restrictions 'citi pré.'çèden t, le 'principe sur. lequel Priedg:Woo d à
- établi son pyromètre, est applicable non-seulement aux fabrications céramiques dont
'cet illustre artiste 's'est occiiiié avec tant de distinction , mais encore aux opératidris dans les-
une des plus répandues, celle qui fournit presque tout le fer qu'on retire des usines de .1a France : je parle des divers minerais vulgairement connus sous les noms de mines en grains,
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'quelles le Calorique est administré' aVec les mêmes circonstances. Mais 'quelque latitude qu'on veuille donner à ces restrictions , il est évident
qu'un thermomètre en terre cuite n'offre pas lin moyen s'Ir de comparer des températures appliquées avec des circonstances variables. (i) Telles sont celles cpie les fabricans de poteries nppellent montres.
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mines limoneuses, mines brunes, hématites brunes, etc. Les caractères qui servent à les reconnaître , leurs propriétés physiques et métallurgiques , la quantité et la qualité du fer qu'on en retire, les circonstances de leur gisement, ainsi que quelques particularités de leur formation, étaient bien connues des minéra-
logistes, mais on n'avait aucune notion pré-
cise sur leur nature, c'est-à-dire, sur leur vraie Composition. D'après des analogies éloignées', ils étaient regardés, par quelques personnes, comme formés des mêmes principes que le fer spathique, ou fer carbonaté , qui en accompagne fréquemment diverses variétés; ,mais plus généralement on ,les croyait edinPosés d'oxyde de fer, d'oxydelde inangadSe et de chaux, Gg4