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DIT FER 11YDRATÉ'.
Dt1 FER HYDRATL
riait vraisemblablement de quelques particules de fer carbonaté contenues dans ce minerai, ou peut-être de quelques atonies de .charbon qui étaient entrés dans la cornue, ce vaisseau étant resté huit jours dans un grand laboratoire
bouillir , et l'on obtenait ainsi le manganèse. ( Le fer était souvent retraité pal': l'acide acé-
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où l'on travaille continuellement. Tout me porte donc; à regarder la différence entre les 14,2 grammes perclus par le minerai et les 0,c1, d'eau recueillis, comme presqu'en tièrement due
à la partie aqueuse qui n'a pu être rassemblée et pesée ; et je crois pouvoir conclure que l'hématite 'distillée contenait environ 14 = pour 100 d'eau de composition. Quant aux nombreuses analyses que j'ai effeetuéesYelles ont été faites par les procédés ordinaires. On commençait par fondre le minerai avec de la potasse caustique (oibiie on le traitait directement par l'acide muriati que , lerrsqu'il ne contenait presque que de l'Oxyde de fer ) ; en le dissolvait ensuite dans l'acid'e Muriaticpie
on évaporait à siccité délayaiVdans l'eau et filtrait pour séparer la silice. La liqueur était précipitée par la potasse caustique , qui ajoutée en excès, redis,
siDivait
- on saturait:par l'acide suifuique, et oti, précipitait, cette terre par l'amm o-
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tique pour lui enlever le peu de manganèse
qu'il et pu. entraîner avec lui , lors de .sa précipitation par le carbonate saturé ). La. chaux, lorsqu'il y en avait , était .irécipitée
par l'oxalate d'ammoniaque. Un fragment de tous les minerais. qu'on a analysés ( et de plusieurs autres ) , a été rougi pendant quelques minutes dans un creusetde platine : le déchet .résultant de 'cette calcination indiquait la quantité d'eari. volatilisée. ljn. peu d'eau non combinée, et une désoxydation de quelques parties de la surface des fragmens calcinés , auront quelquefois pu faire estimer 14 quantité d'eau de eombinaisOn:cl'un centième ( sur le poids total du...Minerai ) trop .
forte. ..... Presque toujours.l'analyse drumême. minerai .
.
a été répétée, ,en tout ou en partie , deux: et même trois fois. Tous ces travaux ont été faits au laboratoire de, la Direction générale des Mines ,on.rai_iété fréquemment aidé des conseilscle. MM. De.scostils et Berthier (1). r
iliaque. té précipité produit par la potasse
(i) J'ai été d'autant plus sensible à la complaisance de M. Berthier, qu'il était lui-mé,'ine occupé; d'un trav,ail sur des minerais de fer, d'où. il concluait ; elè son côté , qu'ils
et on ajoutait avec pré-
éPient des lvdrates.,14,reste, le,but et les résultats,clis
était redissout clans l'acide nitro -muriatique. 'On évaporaitfpresque à siccité , on étendait de beau.ccnap d'eau
caution du:Carbonate de potasse saturé :,,lorsque tout le Jr était précipté , on le separait par le filtre. On versait encore du -carbonate alcalin dans la liqueur, 'qUel'on faisaituensuite
on travail tnt tecinit"-néié;'edinitiS 4Y4'r4) rékiei:Yé4àcCè 'travail se'irouve firis 'Clé du ;Tourna/ des Mines, et ce numéro ri'a ét-é-renflu-pu-
fià
blic que le ai juillet dernier: mon Mémoire,a,été porte a l'Institut le 18 du même mois.