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SUR LE CAR ACTERE PRINCIPAL
remplacer l'expression déjà très - simple de M. Haiiy V 2, par cette autre encore plus simple 1,/3- :1. Sur celui Nous ne trouvons rien à changer au rapport de la chaux phoso,,,_ qui exprime le caractère r.,éométrique de la Chittlx phosphatée, puisqu'il peut servir également pour déterminer notre expression de cette cristallisation. En effet , si nous supposons encore ici qu'au lieu du prisme hexaèdre la forme primitive est un dodécaèdre à triangles isoscèles , et que les faces de ce dodécaèdre soient les faces x (plane. XXX, fig. 72 et 73 de Haii.y), les mêmes qui sont-produites par la / biB, le rapport entre le sinus et cosinus de l'incidence de chacun de ces plans à l'axe, sera sin : cos
Car c'est une conséquence de l'expression B de M. Haiiy , que le sinus de
l'angle dont il sagit n'est autre chose que la lignep ci-dessus , et le cosinus la ligne a. Le rapport Mais ce rapport
- /./..2 est un sujet de
" méditation pour tous ceux qui ontquelques conre,rouve dans plu_
naissances des calculs cristallographiques. Ce est en effet celui des diagonales dut rhombe de la f'orme primitive de la chaux carbonatée, et il se retrouve encore dans les formes de plusieurs autres espèces. Mais sa comparaison entre la chaux phosphatée et la chaux carbonatée, est tellement naturelle et nécessaire , qu'elle fait naître invinciblement l'idée qu'il existe certaines liaisons , jusqu'ici inconnues et indéterminées, entre les formes des dirférentes espèces , et par conséquent , entre leurs différens systèmes de cristallisation. Ce soupçon se fortifie encore lorsqu'on se rap-
sieursesPèrapport ces.
DES CRISTAUX.
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pelle que la baryte sulfatée a aussi pour expression de saforme , le même rapport V:
Et en effet, il est impossible de ne pas convenir que ces trois espèces , la chaux carbonatée, la chaux phosphatée, et la baryte sulfatée , quoique parfaitement, distinguées les unes des autres, n'aient cependant entre elles une sorte de rapport de ressemblance chimique, et pour ainsi dire, un:certain. air de famille.
III. Des rhomboèdres. Les formes primitives en parallélipipèdes sont motifs de
si variées , qu'il est nécessaire de partager ce cele genre en plusieurs sections, et de considérer chacune d'elles comme formant un, genre particulier de formes primitives cristallines. Le parallélipipède qui doit tenir le premier rang est Je rhomboèdre. Nous préférons ce nom à celui de rhomboïde adopté par M. Haiiy pour désigner le même solide, trouvant ce nom de rhomboèdre infiniment plus convenable et plus
adapte au langage ordinaire En effet, nous appelons rhomboïde un parallélogramme obli.;que à côtés inégaux. M. Haiiy , au contraire,
désigné par ce même nom un solide circonscrit par six rhombes égaux et semblables. En nommant ce solide rhomboèdre pour satisfaire à la nécessité de changer le .mot de rhonzboïde ,
nous avons suivi l'analogie d'autres mots déjà
adoptés pour désigner des solides, tels que
,ceux d'octaèdre, tétraèdre , dodécaèdre , icoSaèdre , etc. Le rhomboèdre est une des formes les plus importantes en cristallographie; aussi M. Haiiy