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STRUCTURE
DES _CRISTAUX.
Yariétés dont je viens de parler ; mais j'en avais gardé les déterminations, pour les publier dans la suite avec celles qui se rapportent à diverses formes que je ne trouve décrites nulle part. Or, les signes représentatifs auxquels j'étais parvenu n'offraient rien d'extraordinaire, et qui fit con-
quel j'ai admiré l'étendue des connaissances que ce savant célèbre y a développées. Ayant fixé particulièrement mon attention sur les articles
qui concernent la cristallographie , j'ai senti
tout ce que cette belle science avait gagné entre les mains d'un observateur aussi éclairé que la-
borieux , dent les recherches l'ont enrichie
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fople Jemoclifications jusqu'alors ignorés. -tni. 'etuiliant les descriptions de ces modificatiOns et des autres que l'on connaissait déjà, j'ai vu que les lois de structure dont il les fait dépendi'e'reViennent à celles qui dérivent de ma théorie ; et qu'elles sont seulement présentées sous une forme différente. Mais je ne puis dissimuler que parmi celles de ces mêmes lois qui se rapportent à des variétés inédites, plusieurs n'aient excite na surprise , par la complicarappOqS gni' en Oçpriinent la mesure , surtout lorsque j'ai essaye de traduire ces rapports en ceux qui, dans ma théorie , servent à composer les signes que j'appelle représentaAprès tout, s'il était bien démontré que ces rapports fussent les véritables ; il faudrait convenir que la cristallisation, en élaborant certaines varietéS , a dépassé de beaucoup les limites entre lesquelles il semblait qu'elle fût resserrée , d'après les observations faites jusqu'alors , et nous en conclurions que nous devons ici, comme partout ailleurs, prendre la nature telle qu'elle est, et plier nos théories aux résultats de son travail , loin de prétendre altérer ces mêmes résultats, pour les rendre dépendans de nos théories'. Occupé de ces réflexions, je me suis aperçu que j'avais déjà déterminé quelques-unes des
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traster ces variétés avec les autres dont j'avais donné des descriptions adoptées par M. de Bournon lui-même. J'ai cherché alors à quoi tenait la différence entre les déterminations , et ce sont les résultats de cette recherche que je me propose de développer ici, comme pouvant être de quelqu'intérêt pour la perfection d'une science qui a elle-même une si grande influence sur celle de la minéralogie.
Les applications qui ont été faites jusqu'ici de la théorie des lois de la structure aux produits de de la cristallisation , indiquent qu'en général les formes qui se rencontrent le plus communément dans la nature, sont celles qui dépendent des décroissemens les plus simples ; et pour nous borner. à la chaux carbonatée, on Sait que les variétés de ce minéral les plus ordinaires sont les rhomboïdes qui portent les noms d' équiaxe , d' inverse , de contrastant, le dodécaèdre le prisme hexaèdre régumétastatique' toutes formes données par des décroissemens sur les bords ou sur les angles, qui n'excèdent pas trois rangées (1). (i) Je ne prétends pas que ces formes existent toujours isolément ; ce sont le plus souvent leurs combinaisons, soit
entre elles , soit avec d'autres formes dues à des lois plus composées, qui se montrent dans une multitude de cristaux, ,c,e qui revient au même. -
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