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DES CRISTAUX.
STRUCTURE
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à 4 arêtes (1) , entre da et ut (fig. 3 ) , et celui qui donne les arêtes les moins saillantes, telles
que p e (fig. 2) , tournées vers les arêtes du noyau, dépend du rapport de 17 diagonales à 33 arêtes, entre d/z et h k (fig 3). D'après les indications du même savant , l'incidence de b Sur b (fig. 2 ) est de 106d 20 (je l'ai trouvée
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nient intermédiaire est ( D5 B5); celui du décroissement à l'aide duquel le noyau hypo-
thétique serait produit est e, et celui du décroissement qui a lieu pour le dodécaèdre rapporté au noyau hypothétique est D. Le rhomboïde qui fait la fonction du noyau hypothétique existe dans certaines variétés de chaux
de 1064 2054") j celle b sur b' est de 145a 4o ' ( et suivant mes calculs , de 145 42' 5w'). La forme très-composée des rapports que je
carbonatée, et M. de Bournon en a fait sa
ritable a pour expression e, et que celle qui
des lois relatives à ce noyau hypothétique .et au dodécaèdre qui en dépend justifie pleinement l'adoption du signe représentatif, dans lequel la loi du décroissement intermédiaire est exprimée par la fraction L'incidence de b sur h' est de-145' 34' 12", c'est-à-dire de 8' 46" plus petite que dans l'hypothèse de M. de Bour
viens de citer m'annonçait d'avance celle des signes adaptés à ma méthode ; j'ai trouvé que celui du décroissement intermédiaire est zo, 208 D'" B",); que la loi qui fait dépendre le noyau rhomboïdal hypothétique du védonne le dodécaèdre rapporté au noyau hypo24z X19
thétique est D. Ces signes dont l'oeil est en quelque sorte effrayé, et qui semblent représenter des écarts plutôt que des lois, rendent par cela seul trèsdouteuse l'exactitude des résultats qui les ont amenés. Mais au moyen d'une légère correction faite aux données du problème, ces signes rentrent dans l'analogie de ceux qui se rapportent aux autres formes. D'après mes recherches, celui du décroisse(1) Le texte de M. de Bournon indique le rapport de 15 à 4 ; mais il y a visiblement ici une faute d'impression puisqu'il faut substituer 13 à 15 pour arriver aux mesures d'angles trouvées par ce savant.
ment
septième modification (1). La grande simplicité
n on , et celle de b sur 6 est de 107' 24' 48", c'est-
à-dire plus forte de 1' 3 54". L'angle que font
entre elles les arêtes eo,ep, qui est de 123' 3o' 23" dans l'hypothèse de M. de Bournon
se trouve ici de 121425' 46"; différence, 2'4' 37". L'examen d'une variété citée per M. de Bournon (2), et dont la précédente fait partie, va me servir à motiver l'existence des lois dont je viens Ce savant indique pour la modification dont il s'agit une loi de reculement par trois diagonales en largeur sut: deux lames de hauteur aux angles obtus du sommet, lequel détermine la position des arêtes supérieures du rhomboïde secondaire. Mais dans ma théorie où la production des faces est l'effet principal. auquel tout le reste. serapporte , le décroissérnent qui équivaut à la loi précédente a iieu par trois rangées en hauteur sur l'angle e (fig. i ) de la forme priMut ve.
Tom. 2, p. 84, pl. 38 , fig. 551.
ro laine 31.