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-ealliiimimmamsrac.
SUR LA CHAUX PLITATE
DU visuvE.
en. déterminer la nature d'une manière non
2) sur la face de retour, de la face a dl i la légère pression dite sur l'arête ai, finit par faire sauter la portion a i lgf b du même cristal, en mettant à découvert sur la partie res-
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équivoque.
Bien convaincu qu'aucune indication n'est en général .aussi importante pour établir et
distinguer les espèces minérales, que celle qui se tire , soit des systèmes de cristallisation qu'elles affectent, soit du mode et des circonstances relatives à la division mécanique des substances qui les constituent , c'est sous ce
double rapport que j'ai clâ examiner d'abord
le .minéral du Vésuve. Ce minéral se présente cristallisé en octaè-
dres cunéiformes. J'ai aperçu trois de ces octaèdres , dont un seul était sensible k l'oeil nu. Sa forme était très-nette, et son volume suffisant pour se prêter à des mesures mécaniques prises au moyen d'une carte convenablement découpée. Ce cristal ayant été fracturé depuis mes premières observations , ne présente plus la même forme ; mais M. Haüy l'ayant vu auparavant, on ne pourra pas révoquer en doute qu'ilne l'ait reçue immédiatement de la nature. C'est l'accident qui déforma , pour ainsi dire,
le cristal en question, qui inc fournit les premiers aperçus sur la vraie structure du minéral du Vésuve, et qui me mit par-là à même de la dé-
terminer complétement. ailcde (fig. représente ce cristal tel qu'il était originairement ; et l'on voit que c'était, comme je l'ai dit, un octaèdre cunéiforme engagé dans la gangue par le bout opposé à a dc e (1). Tandis que je mesurais- à plusieurs reprises l'incidence (i) II y tenait aussi par le sommet inférieur c I.
17.:)
tante agc (fig. 3) la face de clivage a b
très-nette et éclatante, et parfaitemen.t parallèle
à la face naturelle c de. Le résultat de cette
première observation me donnant un octaèdre
presque complet (i) , j'ai été naturellement
conduit à chercher les joints naturels parallèles aux autres faces dudit octaèdre ; et il me fut facile de les découvrir, à travers les petites frac-
tures qui se trouvent, soit sur quelques-unes
de ses arêtes , soit sur quelques-uns de ses angles solides. Ainsi ,il était hors de doute que le petit cristal présentait la vraie dont il vient d'être forme primitive duquestion' minéral du Vésuve ; et c'était par conséquent ce même cristal que , dans mes recherches ultérieures , je devais prendre pour type minéralogique de la substance que j'examinais. Conduit par cette considération importante, il me fut dès lors facile de découvrir le minéral du Vésuve amorphe, et de le démêler parmi les substances qui l'accompagnent.
J'aperçus en différens endroits des échan-
tillons qui servirent de base à mes recherches,
de petites masses laminaires, qui se' rapportaient parfaitement au petit octaèdre ci-dessus mentionné. Elles- étaient aussi limpides que (1)11 suffit de soustraire le tétraèdre c g b Afig, 4) pour
avoir l'octaèdre complet a c (Ai. 5).