Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.
sun LES TisTRiTmENS, fondeur, au-dessous du niveau de Peau ,
262
sc:Tratli:a.ii:
louchets,
263
DITS LOUdIIETS.
d'où l'on peut ensuite en enlever facilement
cède pas la lougueur4i
jusqu'à 12 pointes et plus.
Nous avons cherché -à comparer ensemble les effets des trois louchets, ( le 12914 louch,et , le grand et celui à caisse); ce qui nous a été facile,
M. Julien ion n'a à la vérité, l'espoir que d'en tirer dans le même tems à peu près autant qu'avec le grand louchet ; mais que l'on a l'avantage de ne pas être obligé de mettre à sec la superficie de la tOurbe , et de pouvoit,l'extraire, avec des
_
ayant wu ces mêmes, louchets.,expérience
,dans la vallée d.Tssonne. Il nous .paru que l'on
eitrayait, terme moyen, par minute
10.. Trente-deux morceaux de tourbe avec le
petit touchetà-deztxranchans
-`2°-. Seize aveé. le grand à trois tranchans; 3°. Et que , lorsque l'on serait habitué avec
.à quatre iranchans, on pourrait en ex-
tr.aire :à: peu prés autant qu'avec ce dernier. Mais : nous avons ObServé 1. ..Qu'avec le petit Zouché,t, qui a un si grand eventage pour la célérité ou.,,é-4ait. toujours obligé ,pour, s'en servir , cl'Mpniser Jos eaux jus-
qu'au fond des entailles, que l',on;porte rare-
ment au-delà de 9 pointes deprofqndeur, et que l'on abandonne le plu5Aorlyetig:pe,w.te. 2°. Qu'avec le grand lonchfit'lq,uj.;n,' extrait que
la- motié du petndaris eêne tems , on n'a
Ides eaux que besôin de faire baisser_ le jusqu'à celui de la superficie du banc de tourbe, (i ) Voyez le Bulletin de la Société d'encouragement,
n.. 74; p. 2o , août 18io , et il'. 88 , p.. :272.: et suiv.
3°. Enfin, qu'avec le louchet à caisse de
bateaux, d'une assez grande profondeur audessous du niveau de l'eau, et toujours en paralélipipèdes réguliers, sans avoir besoin d'aucun épuisement. Il nous a semblé que ce lou-
chet à caisse fermante, pourrait être d'une
grande utilité pour aller reprendre sous l'eau, des masses, souvent considérables, que diverses circonstances ont obligé d'y laisser, et qui sont aujourd'hui perdues pour la société (1) ; ou que
l'on ne peut enlever qu'en se servant de la
drague et du filet qui laissent perdre beaucoup de tourbe, et exigent toujours de la pétrir et de la mouler pour la mettre en état d'être brûlée. (i) Il suffirait pour cela de se servir de deux bateaux liés solidement entre eux par des planches ou des madriers attachés à chaque bout, ce qui formerait un ponton solide d'où l'on pourrait facilement diriger, enfoncer et retirer la machine, soit qu'on la fit manoeuvrer des deux côtés du ponton, soit que l'on écartât assez les bateaux pour pouvoir l'employer entre eux, ce qui présenterait encore .plus de stabilité pour le ponton et plus de facilité pour le service.
octobre 1811. Si les détails que nous publions.i.ei,.,,étaient insuffisans pour quelques personnes , elles pourraient.con-
sulter' M. Jullien , déjà avantageusementconnu parsés cannelles aérifères pour transvaser les vinsi-lorsqu'ils ont déposé, 'et les liqueurs. gazeuses, sans perdre de vin ou de
gaz ; il demeure à Paris , rue Saint-Sauveur , n.. i8.
R4