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DIRECTION GÉNÉRALE DES MINES. n'y aurait pas deraison de voir le terme de ces retardemens administratifs. Le Législateur n'a pu avoir l'intention d'exposer l'Administration à un semblable résultat. Il a donc évidemment assimilé les demandes en concurrence aux oppositions pour lesquelles il n'a pas exigé la pu-
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blication et l'affiche, mais qui doivent être notifiées aux parties. C'est dans ce sens que la loi doit être exécutée. Les demandes en concurrence devant être mises , comme les oppositions, sous les yeux de l'autorité supérieure, examinées par elle, et discutées, s'il y a lieu, en Conseil d'état, les demandeurs en concurrence ont la certitude d'obtenir
justice , sans qu'ils aient droit de réclamer la formalité
d'affiche et de publication , formalité inutile en elle-même non prescrite par la loi, et qui n'aurait d'autre effet que d'éterniser les affaires.
J'ai cru, Monsieur le Préfet, devoir vous donner connaissance de ces observations, afin que 'vous puissiez en faire l'application aux cas analogues qui se présenteront. Recevez , Monsieur le Préfet, l'assurance de ma considération distinguée.
Signé MON TALIVET.
JOURNAL DES MINES. N°. 192. DÉCEMBRE 1812. 'AVERTISSEMENT. Toutes les personnes qui ont participé jusqu'à présent, ou qui voudraient participerpar la suite, au Journal des Mines, soit par leur correspondance, soit par l'envoi de Mémoires et Ouvrages relatifs à la Minéralogie et aux diverses Sciences qui se rapportent à l'Art des Mines, et qui tendent à son perfectionnement, sont invitées à faire parvenir, leurs Lettres et- Mémoires, sous le couvert de M. le Comte .Laumoisu , Conseiller d'Etat , Directeur-général des Mines, à M. GILLET' LAU MO NT , Inspecteur-général des Mines. Cet Inspeeteu-r est particulièrement chargé, avec M. TB EMERY Ingénieur des Mines, du travail à présenter à M. le Directeur-général, sur le choix des Mémoires, soit scientifiques, soit administra-
tifs, qui doivent entrer dans la composition du .Journal
des Mines' ; et sur tout ce Cptii3Oncerne la publication do cet Ouvrage.
NOTE Sur l'existence du Calcaire d'eau douce dans les départemens de Borne et de l'Ombrone , et dans le royaume de Wurtemberg; Par J. J. OM A LIUS D'HAL LOY.
LE calcaire d'eau douce, qui jusqu'à présent a été principalement observé dans l'intérieur de la France, n'est point étranger aux parties
de l'empire qui s'étendent le long de l'Apennin; il y existe niertie.avec des circonstances propres Volume 3u, ne. 192. C