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SUS. DES MUST AUX APIGÉNES
DE TER OXYDi.
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convertir en fer sulfaté. Si cette disposition existe quelque part dans les individus de l'espèce dont il s'agit , comme dans certaines masses orbiculaires de la variété appelée fer sulfuré radié, on doit la regarder, ce me semble, comme étant aussi l'effet d'une cause ac-
raté. Mais on distingue la ligne de démarcation
On trouvera de même, si l'on prend l'en-
plusieurs autres substances que je pourrais cilter, offrent des exemples de ces juxtapositionts jointes à une sorte de résistance que ces substances opposent à leur pénétration mutuelle. J'ajouterai que, quand même il y aurait de s morceaux où les deux espèces de fer sulfuré se
cidentelle.
semble des corps qui appartiennent aux deux espèces, que la ligne de séparation indiquée par la couleur de la cassure disparaît presque à quelques endroits. J'ai observé constamment jusqu'ici que les cristaux de fer sulfuré blanc offraient dans leur cassure récente la couleur désignée par ce nom. Mais j'ai trouvé des cristaux de fer sulfuré ordinaire qui, à cet égard, se rapprochaient du fer sulfuré blanc, par une teinte blanchâtre dans laquelle cependant on
démêlait toujours une nuance de jaune de
bronze ; d'où l'on doit conclure qu'ils ont été soumis à quelque influence étrangère qui les a. écartés de l'état dans lequel consiste la limite dont j'ai parlé. L'effet contraire à eu lieu dans d'autres individus de la même espèce, qui sont
à l'extérieur, et quelquefois aussi dans leur fracture, d'un jaune très-exalté, bien diffé-
rent du jaune de bronze, qui est la couleur naturelle. Enfin, j'ai rencontré récemment un groupe de cristaux cubo-dodécaèdres de fer sulfuré ordinaire, dans lequel est engagé une masse orbiculaire qui parait appartenir au fer sulfuré
blanc dont elle a la couleur, qui, à l'endroit du centre, prend une teinte noirâtre , indice assez ordinaire du passage à l'état de fer sul-
entre cette masse et le fer sulfuré ordinaire qui l'environne comme on voit dans certains
morceaux de mésotype , la distinction de cette
substance et de la stilbite qui lui adhère en refusant de se mêler avec elle. La strontiane, carbonatée et la chaux carbonatée, ainsi que
trouvassent mêlées l'une avec l'autre' on MD devrait pas en être plus surpris que de voilr, l'antimoine sulfuré et le plomb sulfuré, le fel!. sulfuré et le cuivre pyriteux, contracter entres
eux une semblable union ; et ainsi de beaucoupl d'autres mélanges qui ont lieu à l'égard de diverses substances métalliques distinguées entre elles par leur nature. Il paraît évident que les formes primitives du fer sulfuré ordinaire, et de celui que j'appelle blanc, sont incompatibles dans une espèce unique ; et c'est ainsi qu'en a jugé M. Calmelet , dont les réflexions, prises en elles -mêmes , sont, comme je l'ai dit, de la plus grande justesse. Les deux formes dont il s'agit sont comme deux points fixes d'où l'on. part, pour établir la distinction entre les substances qui les présentent. Cette distinction est liée à des propriétés dont le contraste est sensible dans les corps qui offrent les véritables types de la corripositon. Mais ces propriétés sont susceptibles de diverses altérations accidentelles au milieu desquelles cependant la