Journal des Mines (1813, volume 34) [Image 62]

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RECHERCHES EXIIIIMENTALES

résidus restés dans la pince , et cette soustraction faite , on sait très-précisément ce qu'on a brûlé. Un aide , les yeux toujours fixés sur le thermomètre , annonce l'instant où la température qu'il indique est plus élevée que

SUS. LE BOIS ET LE CHARBON.

Chaleur développée dans la combustion du bois de Bouleau.

L'auteur choisit pour ses premières expériences le bois de bouleauVoici le tableau complet des résultats auxquels elles ont conduit. Le calorimètre et Péan qu'il renfermait avaient une capacité pour la chaleur, égale à celle de 2781 grammes d'eau. On soumit à l'expérience les bois , aux différens degrés de dessiccation qui sont indiqués.

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quelques instans en agitant l'appareil , pour bien égaliser sa température , et on enregis(

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celle de la chambre, d'autant de degrés quelle lui était inférieure avant que la combHstion ne fût commencée. On éteint alors le ruban, et l'expérience est terminée. On remue l'eau tre le degré observé. L'expérience (lb ire de dix à douze minutes.

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Bois à brûler de 2 ans.

Des copeaux séchés à l'air Des copeaux fortement séchés sur un poêle. . Des

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avaient été fortement chauffés et brunis dans une étuve. . . . . ,

Des copeaux qui avaient été brunis moins fortement. . .

Les résultats de ces dix expériences montrent qu'en général plus le bois était sec, et plus un. poids donné de ce combustible a fourni de chaleur; cc Mais, dit l'auteur; j'ai trouvé qu'en tenant compte des quantités d'humidité contenue dans le bois, les quantités de chaleur ont toujours été sensiblement proportionnelles aux

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