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STRATIFICATIONS
l'auteur en termi» En comparant ( dit ) l'esquisse qui précède 'liant son MémoireGéographie minéralogique avec l'Essai sur la MM. Cuvier et de Paris , par des environs Bron,9-,niart, on découvre quelques différencesà essentielles dans les couches supérieures et comparée en Angleterre',
celles de craie , dernière contrée, ces en France. Dans cette par leur nombre, soit couches diffèrent, soit celles qu'on a obser, de par leur nature dans une situation pavées jusqu'à présentOn voit aussi en France reille en Angleterre.
grès encore plusieurs couches d.e sable et de qui dans couches de gravier, supérieures aux au-dessus de toutes notre île paraissent être les autres. » peut être La première de ces différences d'un nombre sur-tout attribuée à l'existence produit des entassernens d'accidens qui ont certains locaux ; par exemple , l'existence de période oà à la lacs d'eau douce , ou salée ,ont disparu ; les les eaux de l'ancien océan auxquelles diverses combinaisons chimiques lieu, etc. etc. donner cette circonstance a pu guère Mais ces 'différences locales ne peuventla conetre considérées comme interrompant tinuité -stle la stratification. » que les occasions Mais , si l'on considèreimmédiatement sud'examiner la stratification plus fréquentes périeure à la craie , sont bien pourra croire , on en France qu'en Angleterre notre île des probable qu'il existe aussi dans la découverte accidens du même genre , dont stratificale système de tendrait à rapprocher tion dans les deux contrées. »
AUX ENVIRONS DE LONDRES.
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» L'examen déjà fait l'identité du banc de craie en .France etétablit en Angleterre. On., trouve aussi dans ce dernier pays, supérieurement à la craie , des dépôts particuliers de glaise plastique, comme dans les couches de france : il y a aussi des bancs accidentels de grès grossier , avec son sable et ses coquillages fossiles , comme on, en trouve dans les .cottchés françaises correspondantes. » » L'autre différence , c'est-à-dire , tence des couches de sable et de grès l'exis, audessus des couches de gravier en France lesquelles , en Angleterre , sont toujours supérieures à toutes les autres , est un fait trèsremarquable. Ne pourrait-on point l'attribuer à. cette même crise violente, dont on a déjà tant cité d'exemples , et qui , en séparant les deux pays , aura pu enlever à la surface du nôtre, telles couches, 'qu'on retrouve encore çà et là sur le continent ? »
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