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1.96
EXTRAIT DE LA
CONNAISSANCE aires( voyez la Trigozzonzétrie
de 'Cagnoli,
2C édit., art. 367), en y faisant ce qui donne log.
K 0 log.
u
n et h , + n de a, en faisant attention que (note de la page 93) sont ,la formule générale A hi, roprésentées ici par Ah, et 2
+ \.1
(..!11.)k0. 2/11 q(i +
K 0ç
n
f
t2 q4
107
DES TEMS.
).
Passant à l'équation aux différences ( note de la page 99) , j'observe que l'erreur Az se
- compose
, par addition ou soustraction , des erreurs Az, et Az', commises respectivement aux stations inférieure et supérieure ce qui exige déjà qu'on' laisse n à la place 'de h' à la station supérieure , afin de rendre les pressions , vraies ou fausses, entre elles. J'observe de plus quecomparables l'erreur Ah, commise au point de la station inférieure , que je
désigne par point A, soit le défaut de l'observation , soit par celui par de l'instrument,
produit sur la différence de niveau entre les deux stations , le même effet avoir fait une bonne observationque si , après,. avec un bOn instrument à un point B, placé à une verticale ±z1 dû point A, et ayantdistance trouvé line hauteur de colonne de mercure égale à h, _T h,, on eût appliqué au point A, au lieu de la quantité h, qui lui convient, la quantité h, +A h, qui convient au point B. L'expression de AZ, se trouve, par cette manière d'envisager les choses, ramenée à la même forme que l'expression
de z, en remarquant seulement que la petitesse
de Az, ser t, constante dans toute permet de supposon étendue; et on
Ah,
+. i( Ah, JUh,-1-11,)
(2/7,1--Ah,) 5
5 ls,h,-+Ah,
etc.
Appliquant les mêmes raisonnemens à la station supérieure , et considérant qu'une er-
de merreur sur la hauteur de la colonne ferait varier la cette station , cure , qui, la 'ferait différence cle niveau dans un sens , varier dans le sens contraire à la station inférieure , on a la formule très-convergente , + et C.
-r
An
( An )3
TH-Art
zri+an
équation de laquelle on déduit celle de la note, page 99 , en négligeant au dénominateur, Ah, et An, ce qui peut en général se faire sans erreur sensible ; cependant l'emploi du dénominateur entier 2 h , +Ah, ne rend pas le calcul plus compliqué. On remarque que les exposans procèdent suivant les nombres impairs 1
5, etc. ; et qu'ainsi , en se bornant aux termes du premier ordre, on n'a à craindre 3,
que les anomalies dues aux termes du troisième ordre, lesquelles peuvent être ici considérées comme des zéros absolus.
Le raisonnement précédent est fondé sur des considérations adaptées particulièrement aux observations barométriques ; Az s'obtient _d'une manière immédiate et très-facile , par