Journal des Mines (1814, volume 36) [Image 215]

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MINES DE HOUILLE, etc.

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plusieurs couches ensemble, la distance totale

reste à peu près la même sur tous les points du Flénu. Les machines à feu qui assèchent toutes les couches de houille, sont au nombre de sept ; voici les noms de ces machines , et les, pro-

fondeurs des puits d'épuisement, comptées de-

DISSERTATION Sur l'Histoire naturelle des Pétrifications , SOUS

puis la surface , et depuis une horizontale menée à ioo mèt. au-dessus du seuil du puits de la deuxième machine. Noms DEs MACHINEs.

Du bois. De Bonet-sur-Quarignon. De be0e et bonne. De noriau et auflette, première. De lioriau et auflette, deuxième. De Bonet-sur-Jemrnape. De Garde de Dit u.

Profondeur à la surface,

Profondeur rapportee

147m19 171

i5o

247m/9 271 236 ,5 216 ,8 216 ,8

201

265 ,8

148 ,5

213 ,3

146 ,5 15o

le point de vue de la Géognosie ; Par M. DE SCHLOTTHEIM

DEpurs quelques années, les naturaliStes soupçonnent, dans la succession des phénomènes de la formation, du globe, l'existence de deux lois générales et importantes : 10. une différence

presque totale entre les corps organisés qui vivent actuellement à la surface du globe, et ceux dont on trouve les dépouilles enfouies dans des couches ; 2°. des différences remarquables entre les dépouilles enfouies à diverses profondeurs et à diverses époques dans les couches du globe. Leibnitz, Michoelis, professeur de Goettingue ;

Deluc, Werner, Blumenbach, de Buch , etc., ont avancé quelques idées sur l'existence de ces lois ; mais personne n'avait encore entrepris de les prouver par des recherches particulières et convenablement dirigées. Tant qu'on ne décrivait les pétrifications que d'une manière vague et non systématique, tant qu'on ne désignait celles qui se présentaient dans les diverses couches que par des dénominations générales, il n'était pas possible d'arriver à admettre ou à rejeter les lois dont l'existence (I) Cet article et les deux'? sui-vans sont extraits du

des Sc.

BAL