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244 MINE DE LIGNITE viraromo.. ET ALUMINEUX
moins grasse, et plus chargée d'oxyde de fer qui nuance de teintes rouges un fond gris-jaunâtre ; ce lit est puissant de orn,66 ( 2 pieds ) et repose sur une argile glaise ( terre de pipe) d'un gris-bleuâtre clair, épais de em,4o ( pouces ) , et à pâte longue. Les couches inférieures n'ont pas été traversées. Composition de la couche de
La couche de lignite qui gît, comme on vient de le voir, au milieu de lits d'argile glaise plus ou moins molle , et dont la direction qui subit de larges mais légères ondulations,
générale toujours dans le même sens, et
l'épaisseur ordinaire, ont été indiquées , se divise en quatre parties distinctes : le mutin supériezzrou argile bitumineuse peu riche, épaisse de quelques centimètres (quelques pouces ); le gros charbon ou lignite friable et lécrer, dont
l'aspect est terreux, la couleur brune foncée passant au noirâtre, le tissu compacte et la cassure conchoïde , qui régne sur une épaisseur de om,33 (n) à 15 pouces ) , et se change insensiblement en petit charbon ou lignite très-fria-
ble, se brisant en petits morceaux haut de
Indices de - lignite aux
,nvirons de Bourwiller.
o`',5o à orn,66 (18 pouces à 2 pieds ). Enfin le mutin inférieur, ou terre vitriolique très-inflam-' mable , ayant 0'1,22 ( 8 pouces) , terme moyen de puissance. Des indices de lignite se montrent aux environs de Bouxvviller , à Dossenheim , à Weinbourg , à hiewiller,, à Mennehofet à Ifiewiler. (Voyez la carte de Cassini, no. 162.) Un affleurement de lignite brillant a été découvert sous l'argile glaise, au pied du Bischhem- , dépendance du Bastberg , entre Boita:-
- iller et Nenvviller. Il court du N. N. E.
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DIT MONT-BASTE ERG.
S. S. O., et paraît pencher vers le S. S. E. en s'enfonçant sous la montagne. Cet indice mérite particulièrement d'être suivi, d'abord par des sondages, ensuite par un puits vers le fond fort peu incliné du. petit vallon qui sépare le Bischberg du Bastberg.
Il est question, dans l'ouvrage de M. de Die- Historique ploitric h ( tome 2, page 289) , des mines de charAnciennes bon de Bouxzwilter. Déjà ( avant 1789) l'on en recherches. tdae
avait tenté plusieurs fois l'exploitation que
M. de Dietrich voulait à son tour entreprendre pour alimenter, ce qui n'eût pas eu de succès, une petite fabrique d'acier de fusion qu'il avait
montée. Mais la crainte de tarir la fontaine publique de la ville fit écarter ce projet, et abandonner la galerie creusée sur ce charbon pyrophorique et pyriteux. Depuis cette dernière époque jusqu'en I808, Recheraucune tentative, à ce qu'il paraît, ne fut faite cyielï,s,,:°"" sur les indices de houille du Mont-Bastberg. 1809. Alors MM. Schnabel et Grinnwald obtinrent une permission de recherche qui donna lieu à la demande actuelle en concession. Les recherches anciennes faites vers les années 1740 et 1780, avaient été percées près du fossé de la ville, là où la couche de combustible offre son affleurement au pied du Neu-Bezstberg. En.
1809 un coup de sonde sur le penchant de
cette montagne, fit reconnaître à 283m. (850P.) de l'affleurement, le prolongement de la couche enfoncée de 33 mèt. ( 98 pieds ) , et épaisse de r,66 ( 5 pieds ).
On cessa ce mode bien entendu de recherche, Description
pour ouvrir , trop près de l'affleurement , des des tra-travaux superficiels, consistant, vers la fin de vaux'
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