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dont la valeur varie de 500 à 70% J'attribue- cette différence à ce que les roches traversées par les travaux de mines sont généralement sans l'influence de l'étirement
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Receptaculites Oceani (Eichw.). Procluetus fimbriatus (Sow.). Camaropboria Suessi (Suess).
que la formation de grands filons fait subir au terrain encaissant. Cet étirement tend à développer dans les
.50 Marnes de couleur claire, contenant quelques lits minces de houille impure ; on y a trouvé une bivalve
épontes une fausse. schistosité paralèlle au plan du filon, et
indéterminée. A Dobschau, la formation carbonifère constitue un îlot peu étendu. Dans le nord du massif, elle forme une bande
c'est seulement à une certaine distance que l'on peut déterminer avec certitude le plongement véritable du ,
DU COMITAT DE ZIPS (HONGRIE).
FILONS CUIVREUX
terrain. On n'a trouvé jusqu'ici aucune trace d'êtres organisés dans ces schistes évidemment métamorphiques; néanmoins M. de Huer les considère comme dévoniens. On n'a guère pour cela d'autre motif que la superposition de couches rapportées avec quelque probabilité à l'époque carbonifère.
Formation carbonifére. - A partir de cette formation, l'aspect cristallin des strates antérieures disparaît entièrement. A Kotterbach et à Poracs, elle est représentée par un conglomérat formé de cailloux roulés de quartz et de
fragments arrondis de roches anciennes, unis par un ciment arg,i10-sableux, de couleur rougeâtre. Près de Jeckelsdorf, ce conglomérat est recouvert d'abord par des schistes fissiles, puis par un conglomérat à ciment grisâtre.
On n'a pas trouvé de fossiles dans ces couches de la région nord : on les considère comme carbonifères d'après leur analogie avec les couches fossilifères de Dobschau, qui présentent de bas en haut la composition suivante 1° Calcaire sombre, parfois dolomitique, rempli de fragments de crinoïdes et de débris de fossiles impossibles à déterminer. 2° Schistes violacés, contenant beaucoup de mica. Ils renferment des débris de crinoïdes, de céphalopodes, des empreintes végétales et les fossiles suivants, déterminés par M. Suess :
orientée est-ouest; ses assises sont presque horizontales, comme celles des terrains supérieurs. Sa puissance est maximum au sud d'Iglô ; déjà faible à Kotterbach, elle se réduit à rien un peu à l'est de Güllnitz. Rothliegencles. - Cette formation est représentée, à l'est du massif surtout, par des schistes violets ou verdâtres, parfois fortement chargés de mica, d'autres fois assez talqueux pour pouvoir servir de matériaux réfractaires. Près de Krompach , ils sont nettement fissiles et sont exploités comme ardoises ; leur teinte est d'un violet sombre.
Ces schistes n'ont jusqu'ici fourni aucun fossile. Trias. - Le trias est nettement délimité par la décou-
verte en quelques endroits des schistes de Werfen qui forment sa base dans les Alpes. A Folkmar, au sud d'rdlé, cet étage est représenté par une marne jaunâtre, où l'on a trouvé la Naticella costata (Munst.) ; à la SlovenkaSkala., dans une marne grise, on a rencontré la Myophoria costata (Zenk.) appartenant au même niveau. Près de Dobschau, les schistes de Werfen recouvrent l'euphotide ; ils sont sableux, verdâtres, peu puissants, et contiennent le Myacites Fassaensis et la Naticella costata. Les schistes de Reingraben ont été rencontrés en un seul point, au Zelesna Berg, entre Bela et Opaka ; ils sont caractérisés par la Halobia Haueri.
La masse principale de la formation triasique se compose de calcaires à la partie inférieure, de dolomies au-