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EMPLOI DES RAILS D'ACIER.
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EMPLOI DES RAILS D'ACIER.
Tableau indiquant les points où se sont produites les ruptures observées sur le réseau du Nord. 5. ARRONDIS- 7, ARRONDIS1' ARRONDIS- 2= ARRONDIS- 3. ARRONDIS- 4. ARRONDIS-
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Loo 1.18
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0,18 0,20 0,25 0,32 0,40 0.50 0.60 0.83 0,87 1,03 1,35 1,50
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boulons.
0,35 0,45 0,50 0,00 0,00
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1
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1
0.81 0,98
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1
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1
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1
1,92
5
1
1,15 1,25 1,90
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2,00
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3,00 3,85
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1
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1,94 2,00 2,20 2,30 2,43
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1,93 2.00 2,01 2,38 2,40 2,75
2,90
3,82 3,85 sans renseignements.
300
3,05 2,20 3,25 3,42 3,90
Pour les rails en 37, en 55 et en 5o kilog., les distances
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des traverses à une des extrémités du rail sont les suivantes : 0,60 - 1,50 -- 2,50 - 3,5o, etc. Il n'y avait donc pas intérêt, clans le tableau précédent, à établir une distinction entre les différents modèles. On a, dans ce tableau, souligné les cotes correspondant
à un point d'appui ; en supposant aux points d'appui sur les traverses une largeur moyenne de o-,16, on voit que les ruptures ont eu lieu plus souvent en dehors des points d'appui que sur les points d'appui eux-mêmes. Toutes les lignes auxquelles se rapportent ces renseignements sont des lignes à faibles inclinaisons, car elles ne dépassent pas om,008.
On peut tirer des renseignements qui précèdent les conclusions suivantes On remarque, en examinant les tableaux des ruptures des
rails par provenance, que dans les lignes exploitées par l'État belge, le chiffre des tantièmes des ruptures par 1.000
et par an, varie extrêmement avec chaque usine; et souvent entre deux fournitures de la même usine, que les résultats sont tous bons pour les lignes du Grand- Central belge et de Cologne à Minden, et qu'enfin pour le Nord français les résultats sont aussi très-bons, sauf pour deux usines dont les produits ont été assez variables. On peut donc déjà conclure du vu de ces tableaux que certainement les nombreuses ruptures qui ont été signalées n'avaient pas un caractère général ; qu'elles proviennent d'une mauvaise fabrication, et que dans tous les cas, la moyenne générale des ruptures est faible et ne permet de concevoir aucune inquiétude sur l'avenir du rail d'acier.
On ne trouve, dans tout ce qui précède, de renseignements sur l'emploi des encoches au patin, pour la fixation du rail, que dans le chemin du fer du Grand-Central belge mais le résultat donné par ce chemin est concluant, puis