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TERRAINS.
REVUE DE GÉOLOGIE. 2. sous-étage. 1. Calcaires à Toucasia (Requienia) Lonsdalei. 2. Calcaire à silex. Calcaires marneux à Echinospatangus deanus. Calcaires marneux à, Echinospatangus cordiformis.
Calcaires à Bélemnites plates. PERTE DU BEIGNE.
M. Renevier (0 a donné une coupe dé-
taillée des terrains de la Perte du Rhône. Au-dessous du gault, divisé en gault supérieur (gaize) à Ammonites inflatus et à nodules phosphatés et gault inférieur à Amm. mammillaris, l'auteur distingue l'aptien à Ostrea aquila, Epiaster polygonus, etc., épais de 6 mètres, le rhodanien à Orbitolites lenticulata, Pterocères et Heteraster oblongus, puissant de 57 mètres, enfin se mètres d'urgonien à Requienia ammonia. TERRAIN CRÉTACÉ SUPÉRIEUR.
EUROPE. M. Hébert (2) a donné une classification détaillée du terrain crétacé supérieur en Europe. L'auteur distingue les
étages suivants : Danien. Supérieur : calcaire pisolithique, calcaire de Faxoe,
tufau de Maestricht. Inférieur : calcaire à baculites de Valognes; craie grise de Ciply. Sénonien. Supérieur : assise supérieure ; zone à Bel. mucronata, calcaire à Micraster Tercensis; assise inférieure: zone à Bel, quadrata, argiles et grès à Cyrena garumnica. Moyen : assise supérieure; craie à Micraster coranguinum , calcaires à Hemipneustes d'Ausseing ; assise inférieure : craie à Micr. cortestudinarium, lignites du Beausset et du Plan d'Aups. Inférieur : craie Holaster planus, craie de Villedieu à Micraster brevis.
Turonien. Supérieur (calcaire à Hippurites), manquant dans le bassin de Paris. Inférieur ou craie de Touraine et zone à Inoceramus labiatus. Cénomanien. Supérieur' ou grès du Maine, manquant, selon M. H éb er t, dans le bassin de Paris. Inférieur ou craie de Rouen, formant trois zones, la zone supérieure à Turrilites costatus, la zone moyenne à Turrilites tuberculatus, et la zone inférieure ou gaize à Ammonites inflatus. (I) Bull. Soc. geol. [3], III, 70E. (2) Bull. Soc. géol. [3], III, 595.
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ILES BRITANNIQUES. M. Ch. Barrois (1) a publié un mémoire
sur le terrain crétacé supérieur des Iles Britanniques,. L'auteur y a partout suivi les horizons déjà reconnus dans le massif crayeux: du bassin de Paris, et qui sont, de haut en bas : Assise à bélemnites (craie del'Ortsdown et de Norwich): Assise à Marsupites (craie. de,Brighton et de Margate).. I. Sénonien.. . A. à micraster : 1° M. Coranguinum (craie de Broadstairs, chloritic chalk d'Irlande). 20 M. Cortestudinarium (craie de Stockbridge et de Douvres). Zone à Flolaster planus (cheik-rock). Zone à Terebratulina gracilis (craie sans silex de Douvres, sables et grès chlorités d'Irlande). I. Turonien. . Zone à Inoceramus labiatus (craie conglomérée de Shakespeare Cliff). Zone à Belemnites plenus. Zone à Holaster subglobosus (grey chalk). 'Marne glauconieuse (chloritic mari; marnes grises et grès jaunes d'Irlande). III. Cénomanien Zone à Pecten asper (sable vert de Warminster, glaucome de Folkestone). Zone à Amm. intlatus (couches de Blackdown et gaize de Devizes).
M. Barrois fait remarquer qu'a l'époque où la craie à.Marsupites se déposait dans le sud de l'Angleterre, il se formait en Irlande un dépôt littoral épais seulement de A à 5 mètres. Il pense donc que la mer crétacée en Angleterre ne devait pas dépasser beaucoup les affleurements jurassiques des Cotswolds, et qu'elle pénétrait dans un continent déjà, émergé sous la forme de golfes comparables au golfe de Gascogne. UCHAUX.
M. Hébert (2) a fait une étude spéciale du bassin
crétacé d'Uchaux. On y distingue les horizons suivants 3°,gtreoaurairGersèl Couche supérieure. Calcaires à Hippurites cornuvaccinum. Couche inférieure. Grès de Mornas. àrouudie rudistes.. Couche supérieure. Grès à Amm. Requieni. groupe Couche moyenne. Grès à Anun. papalis. chaux. Couche inférieure. Grès,à Epiaster. i'd'egrcoirnesa' yGes
de Môneclragon.
Couche supérieure. Grès ?r lignites. Couche inférieure. Grès à Turrilites Bergeri et Arrim, ro7 tomagensis.
Plusieurs espèces nouvelles, provenant de ces différents horizons, ont été décrites par M. Mu ni er -Chalm as. (I) Thèse présentée à lu Faculté des sciences. (2) Ans, des sciences géologiques, VI, 1875.
Lille. 1876.