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SUR LES CHEMINS DE FER.
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En résumé, les compagnies d'Europe dont les systèmes ont été étudiés exploitent plus de i 00.000 kilomètres de voies ferrées placées dans des conditions variées, et cependant toutes sont arrivées à un nombre très-limité de solu-
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Examen critique des divers sysRésumé général de ces études. Conclusions spécialement en ce qui concerne le réseau témes.
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L'Allemagne a fait toutes les tentatives, mais les administrations allemandes concluaient, au Congrès de Dusseldorf, en 1874 : « De ces nombreux systèmes de chauffage,
« en partie appliqués, en partie restés à l'état d'essais, « aucun n'a acquis jusqu'à ce jour une préférence marquée. » Si l'on prend l'opinion de différentes compagnies, on trouve des divergences notables, les unes se déclarent satisfaites de ce que d'autres abandonnent, etc., etc. Si enfin on cherche ce qui peut convenir le mieux aux chemins de fer français, on est obligé tout d'abord de considérer deux grandes catégories de systèmes de chauffage: 1° Systèmes exigeant la solidarité des voitures ; 20 Systèmes à installation séparée sur chaque voiture. Dans les conditions actuelles de l'exploitation française, il faut rejeter tout système exigeant la solidarité des voitures. Les expériences faites par la compagnie de l'Est lui ont révélé de sérieuses difficultés, principalement pour entretenir les soupapes placées sous les conduites de jonction et pour permettre d'intercaler ou de supprimer une voiture aux gares intermédiaires. Le rapport résume la question dans les termes suivants : « Il résulte de l'examen « des faits et des expériences tentées sur divers chemins