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ÉLEGTRO-SÉMAPHORES MODIFIÉS.
d'un courant diaire qui correspond à l'envoi sur la ligne rompant négatif; à ce moment, la came ? de l'appareil n° 1 négatif de la pile le contact es', la communication du pôle l'émission d'un couavec la terre se trouve interrompue ; l'appareil n° 2 se trouve ainsi suspendue
rant positif par pendant un instant très-court pour permettre l'émission d'un courant négatif par l'appareil n° 1. Examinons, maintenant que nous avons expliqué comment l'appareil n° 2 peut émettre, dans sa position de déclanchement, un courant positif permanent, quelles sont les dispositions prises pour utiliser ce courant dans l'apindiquées pareil n° 1. Les modifications que nous avons de cet appatout à l'heure dans les touches de l'inverseur reil réalisent les conditions suivantes 1), ce qui cor1° Quand l'appareil est déclanché (fig. respond à la voie libre, l'électro-aimant du voyant intéla ligne, par rieur est seul en communication avec
une.
5), ce qui cor2° Quand l'appareil est enclanché (fig. l'électro-aimant de la grande aile respond à voie fermée, l'un et l'autre et celui du voyant intérieur communiquent
avec le fil de ligne, le premier par LEXAK, le second par LEXAK'.
5° Dans toute autre position, ces deux électro-aimants sont isolés du fil de ligne. de On remarquera de plus (V. fig. i) que le ressort contact KT ne communique pas directement avec l'électron'a aimant R du voyant intérieur : cette communication
l'extrélieu que par l'intermédiaire du conducteur ii, dont lui-même, de rotation du voyant mité est solidaire de l'axe entre et se termine par un appendice à ressort, oscillant liait deux vis y et y' qui limitent sa course. Cet appendice contact l'office de commutateur. Lorsqu'il se trouve en avec la vis y, ce qui correspond à la position du voyant
TYPE DE LA COMPAGNIE D'ORLÉANS.
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mis au blanc, le courant qui pourrait suivre le conducteur ii serait dirigé dans l'électro-aimant R. Quand, au
contraire, l'appendice est en contact avec la vis y', le courant est dirigé dans la sonnerie trembleuse S, dont la fonction, avons-nous dit, est de signaler toute discordance entre les indications des signaux à vue. D'ailleurs le conducteur 2j, qui doit compléter, avec le frotteur M et la touche de terre D de l'inverseur, le circuit de la sonnerie S, ne se trouve en contact avec cette touche de terre D par l'intermédiaire du ressort M que quand l'appareil est dans la position correspondant au déclanchernent du grand bras du sémaphore, comme fig. 1. Trois conditions sont donc nécessaires pour que la sonnerie trembleuse S entre en action : 10 la présence dans le fil de ligne d'un courant permanent ; 2° le déclanchement et la chute de l'armature du voyant intérieur ; 30 l'effacement de la grande aile du sémaphore dans la position de déclanchement. Lorsque l'appareil est manoeuvré régulièrement, les dispositions que nous venons de décrire ne modifient et ne compliquent en rien son fonctionnement. Tout se passe comme dans l'appareil du chemin de fer du Nord, avec cette seule différence qu'un courant permanent, émis par l'appareil n° 2 du poste d'aval d'une section sur laquelle un train est engagé, vient augmenter la stabilité du signal qui ferme la voie à l'entrée de la section. Il suffit en effet de se reporter d'une part aux explications données par M. Clérault (V. plus haut, p. 185), sur la marche des courants, et d'autre part aux fig. 1 à 5 de la Pl. VII, pour constater que dans la manoeuvre régulière tout se passe comme dans les appareils de M. Lartigue. La position n° i est représentée fig. t pour l'appareil n° 1, et fig. 4 pour l'appareil n° 2. On voit qu'il n'y a pas de communication entre le fil de ligne et l'électro-aimant principal; mais il y a communication dans l'appareil n° entre le fil de ligne et l'électro-aimant R du voyant inté-