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REVUE DE GÉOLOGIE.
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TERRAINS.
naître la répartition des brachiopodes dans le terrain dévonien du Boulonnais. Ge tableau peut être résumé de la manière suivante: espèces.
Calcaire sableux, couronné par le calcaire carbonifère. Calcaire de Ferques Calcaire à Pentamerus brevirostris. Schistes aine à Streptorhynchus elegans de Beaulieu. Argile à. Streptorynchus Boucharcli Schistes à Spirigera Davidsoni Calcaire de Blacourt
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ALLEMAGNE OCCIDENTALE.
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NI. Maurer (i) a fait, sur la faune
des couches à orthocératites de la vallée du Iluppbach, de nouvelles
recherches oui ont amené la découverte, clans ces couches, de Pleurodictyum problematicum avec Orthoceras triangulare et
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Rhynchonella livonica.
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De plus, dans les couches à pentamères, M. Maure!' a trouvé, outre Pentamerus rhenanus et Bronteus cameratus, Plutcops latifrons, Streptorynchus umbraculum, Strophomena rhomboïdalis, un fragment de goniatite, enfin la variété de l'Atrypa reticularis qui. accompagne d'ordinaire Spirifer cultrijugatus. Toute cette faune est dévonienne, M. M au rer y voit donc une raison de plus de persister dans l'opinion qu'il a déjà émise au
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Parmi ces espèces, 56 seulement sont distinctes; les plus abon. damment répandues sont : Spirifer Verneuili et Orthis striatula, qu'on trouve à peu près clans toutes les assises, et Productus subaculeatus, qui se rencontre depuis la base jusqu'au calcaire de Ferques inclusivement. M. Goss e I et (i) a étudié la faune des schistes de Fam enne ; ces schistes se relient insensiblement, par le bas, aux
sujet de l'âge des schistes de Wissembach (e).
Limite supérieure du terrain dévonien.
FAMENNE.
schistes de Matagne à Cardium palmatum et, par le haut, aux psamm ites du Condroz, dont on ne peut guère les distinguer que par l'absence du genre Poteriocrinus. Dans les environs de Senzeille,
les schistes de Famenne semblent présenter deux horizons distincts, le premier caractérisé par Cyrtia Murchisoni, Spirigera reticulata, Rhynchonella triqualis, R. °malins', Orthis arcuata, le second oit Cyrtia Murchisoni se trouve avec Spirifer disjunctus, Rhynchonella. pugnus, R. acuminata, Strophalosia productoïdes, Productus subaculeatus, Spirigera Roissyi.
Outo.
La détermination de la limite entre l'étage dévonien
et l'étage carbonifère présente des difficultés sérieuses dans l'état d'Ohio. Le groupe dit de Waverly, d'abord considéré comme dévonien, a été classé plus tard par M. N e w ber r y dans le carbonifère. M. L. E. Hicks (5) a repris l'étude de la question ; il conclut que la partie supérieure au moins du groupe de Waverly, formée par les schistes de Cuyahoga, le grès de Berea, et les schistes de Bedford et de Cleveland, est, par ses fossiles, nettement carbonifère. Quant aux schistes d'Erie, sur lesquels cette série repose, leurs fossiles sont ceux de l'étage de Chemung, considéré comme dévonien.
M. Ch. Barrois (e) a étudié le terrain dévonien de la province de Léon, en Espagne. Au-dessous des calcaires rouges à goniatites et orthocératites, que l'auteur rapproche des calcaires LÉON.
amygdalins et marbres griottes des Pyrénées, se présente une zone de schistes noirs à Cardium palmatum et à Posidonies. M. Barrois n'admet pas que ces schistes appartiennent au dévonien supérieur. y voit, par les caractères pétrographiques comme par la faune, un équivalent des schistes de Porsguen en Bretagne (5), qu'il regarde comme synchroniques des schistes de Wissembach. Les schistes à Cardium palmatum de la Collada de Llama re-
posent sur les calcaires à Spirifer lvicosta. Ans. Soc. géol. du Nord, IV, 303. Association française; 1877, 336. géologie, XV, 88. Revue
TERRAIN CARBONIFÈRE. ÉCOSSE. M. B. E th er id ge junior (â) a étudié la faune des invertébrés du grès calcifère, formant la base du carbonifère inférieur dans les environs de Glascow. Ce grès comporte deux divi-
sions: au sommet, le groupe de la pierre à ciment, composé de grès, schistes, couches minces de houille, avec quelques bandes calcaires; eàalca base, le grès rouge, ne contenant qu'un seul fossile, Ecastlhcaeirriea
Parmi les espèces rencontrées par M. E ther i dg e, plusieurs sont nouvelles; les autres comprennent : Leperditia scutoburdigalensis, Noues Mark, 1878, 49. Revue de géologie, XV, 89. Anaeric. JOIL7'11. XVI. '216. 14) Reol. Society, 7[3], nov. 1877.