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TRAVAUX EXÉCUTÉS A BOURBONNE-LES-RAINS.
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SàDÂGES.
registre des jaugeages permet de .s'.en asstireni,_ nouà ,teient aux nioy en nes, nous ,nivonejéunilus résultats suivantSdlw,, sont çoncluants kct égarq! buisu,5 -
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I.Ayant le sondage n.12. 20 Après Différence
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çréation du sondage 12 avait donc accru. ,d'.uneagjp-
quantaine de mètres seulemeg les ressources4épotislue. exags .hiién:q5eamilMais les résultats ci-dessesoilt,,Pen, miit pat (tenus .fkae desccput parablés, parce qu'ils
tions identiques, sur4outattpe4
A0'%d'eau
pluviale dans les ,alliivions. Noussavons 9..9319Î'r cpAgji
d'examiner_ ce point particulier du_ régime desjourseso
étudiant leurs origines. Dans le dernier jaugeage obtenu après 'rabaissent général des émergences, le sondagen° 12 est uomprispng une quantité de 1°8 mètres cubes -par 24 heures : c'estçle moins le chiffre trouvé le 28 décembre 1875 ; un ,jaugeage moins complet, en mai 1877, n'a pas donné plus de 6.094;
tres cubes. Nous ne savons pas au juste à quoi peut ,tieRiS la différence. Elle montre au moins que des études.,en hères des débits peuvent présenter beaucoup d'intérêtja Sondage n° 15. ---Après l'exécution du sondage n° 12 me génieur des mines, M. Duporcq, revint à plusieurs reprie sur l'opportunité de forer un puits dans le puisard romain
lui-même. Mais il y avait bien des difficultés à ce travail! le puisard romain se trouvait dans les bâtiments de ré* blissement, ce qui exigeait une démolition assez importante pour loger le grand engin. De plus, ce puisard était le seul récipient où se rassemblassent les eaux de toutes les sources
civiles, et il recevait l'aspirateur des pompes. L'exécution
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de ce sondage se trétivait nécessairement'ajournée jusqu'au Moment où l'on créerait un nouveau récipient, et oül'ori ne craindrait pas de toucher au vieil 'établissement.
De nombreux projets généraux furent présentés -par
tendantt nffluêine but : l'abaissement géneral ries' niveadi 'd'éniergence,' la création de récipients imperméables, et le forage n° 13. Le travail préliminaire deconstruction d'un aqueduc de décharge fut exécuté par M. Duporcq, en 1869, inais avec des dépenses qui dépassèrent le double des prévisions des devis. Cette circonstance sans doute, puis la guerre, enfin des changements considérables dans les projets de restauration des Thermes, firent ajourner longtemps les travaux, et le sondage n° 13 avec eux.. Enfin, en i84, l'administration accepta1esdet,niers projets que- nous avions présentés .pour faménagement- général- des eaux, et le sondage- n° i 3'mi:t'être commencé sous notre direction, par les soins de M. Prechey, garde-mines.
Le puisard civil se 'composait de deux parties distinctes: la- plus -basse, datant certainement dé l'époque formant un rectangle allongé de 3-,60 de long siiKei,8o de large, placé un peu obliquement par rapport akif -murscde l'établissement, et la seconde, à peu près
'Carrée, batie en 1785 par les entrepreneurs du comte d'Avaux, ainsi que le raconte 'de Varaigne. Cette section supérieure avait 3m,2o de côté, environ-; Le tout était dans le bâtiment des Thermes civils, entre les douches et les Pnnipes. Au-dessus du puisard, fermé en planches, était installé dans les combles un appareil destiné au refroidissement de l'eau, construit par M. Duporcq, et abandonné depuis, malgré ses bons résultats. Une étuve prenait sa vapeur au-dessous du plancher recouvrant le puisard. 4'-Pour placer l'engin, on commença, le mo décembre 1874, à démonter l'appareil réfrigérant : on referma la toiture à l'endroit où sa cuve avait exigé une modification. Puis on TOILE XVII, 1880.
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