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TRAVAUX EXÉCUTÉS A BOURDONNE-LES-BAINS. 402 la part des habitants de Bourbonne formant dti'déhit
total. tin appareil spécial destiné au partage devait être établi pour diviser les eaux, soit avant, soit après l'élévation dans les réservoirs. La première solution ayant été adoptée, la
part de chaque établissement devait être conduite 'à ses pompes par une conduite partant de l'appareil de partagé.
Pour ne pas forcer à faire Mârcher le'SeMeSetir'èt nuit, il fallait recueillir les eaux pendant une partie' des vingt-quatre heures dans des puisards placés a2tiudes,Soiis
du niveau général d'émergence : le puisard ciirdOVait être plus grand que le puisard' .militaire[ et M. DtiPoreq 'proposait de leur donner respectivement des capacités utiles
de 200 et 15o mètres cubes. La durée iiécessaire de 1a marche des pompes se trouvait ainsi rédifite à môiris'dè dix heures. Une fois les eaux partagées et reçues dans les puisards, chaque établissement devait en opérer le montage dans ses réservoirs, au moyen de pompes à. vapeur. Quant aux réservoirs eux-mêmes, 'ils devaient dt31acés en dehors des bâtiments, vers le haut du jardin 'd-à 'bains civils. Il fallait en outre adopter un énergique moy'à refroidissement. M. Debette avait proposé.la'circulation au-
tour d'un serpentin parcouru par une dérivation du ruisseau de Borne, ou inversement ; M. Duporcq essaya de faire
adopter une chute en pluie dans un courant d'air mu par un ventilateur, et construisit même un réfrigérant 'de ce système au-dessus du puisard romain. Les résultats furent bons, mais exigèrent une grande forcé '-Motrice, et soulevèrent de l'opposition de la part des médecins. Ces deux procédés ont été laissés de côté pour en revenir à la simple exposition à l'air libre pendant trente-six ou quarante-huit heures dans des réservoirs peu profonds et présentant une grande surface de refroidissement. Enfin il restait encore à ramener l'eau depuis les grands
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leeyoirs d'accumulationr:. jusqu'aux appareils -desservant les bains, les douches et les douches faibles; cette (lied-1),#-
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dans un bas eond. op.struçtioni4e ce égout, devant exiger uutemps assez long, ne pouvait pas coïncider avec les travaux ,d'aménagement ;. ceuxci devaient, de :toute, nécessité,, être ,enTiinés entre,:,,deuxursaispnW.:Salnéeres,--dest-àdire de noveyibre de, a.1.1 .1j iu à niaL
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ogormément à, SeWprojetS, ilongueur.,de_. 8 5 o mètres et une pente 4ptabid91A,iiinéke.,,,I;9,oçotw,. du radier à l'amontdevait être
hèsd bàinS .çivils,.Quant à la forme de l'ou-
vrage, llit ciirtposé d'une partie.roctangulaire de om,8o .*..tie large jètj,00.4e Jauteur, .stgFion t é e d'une voûte. Ide .om,40
Avant le Commencement des travaux, la section adoptée fut reconnue défectueuse au point de vue de la solidité, et _
réduisit:nuprofit de),".épaisseur,.des murs,jaargenr intérieure à la base à op,Au,i,de_pluw. on appuya tout l'ouvrage sur une masse de' béton deyp-,3o d'épaisseur et
',60 de large.
L'aqueduc devant suivre la rue de l'hôpital, puis la rue Lateau et la rue de -Gray, constamment entre deux façades Tohm XVII, 1880.
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