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ÉTUDE SUR L'ACTION DES FREINS.
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sur la jante à la charge sur roues décroît avec la vitesse elle varie entre 3,5 pour une vitesse de 100 kilomètres à l'heure à o,7 pour une faible vitesse.
La distance parcourue avant l'arrêt e
Cette valeur peut du reste être représentée par une courbe dont les ordonnées sont les inverses de y, (Y). L'équation devient alors dans ce cas dv
t=
Ps(v)
=
250
25.
io8
t = 10,8 -273 V.
L'arrêt peut être effectué en io,8 soit ii secondes.
250, 25o a t) = 20
1°8
t.
d'où
e = 25t
1 250
t2.
L'arrêt s'effectuant en o",8, la longueur de l'arrêt est
e = 25 x 2,8 21 250 x 10,8, 10 e = 155 mètres.
+10)8t)
25t,
250 15 = i5o Mètres.
io8
Remarque III.
Nous pouvons rendre compte de la
valeur des forces qui produisent l'arrêt d'un train en mouvement.
o
250
8o
y.
l'arrêt s'effectue alors en iS secondes. On en tire t1
k2
p 17i)
Le travail résistant est F ds.
12108 = 10
= 7(78250 ( t
2
La forcé vive d'un train est comme nous l'avons vu
ri= p1(v)(it
/2
8o
Nous venons de voir qu'au point de vue Remarque II. des meilleurs arrêts il est bon d'éviter le calage ; que dans (v), la force rece but en adoptant la relation x1 (v) tardatrice était p, (v)P ou fsP ; tandis que pendant la période de calage la force retardatrice est f, P. En jetant un coup d'oeil sur les courbes représentant la valeur de ces coefficients de frottement, nous verrons immédiatement que le calage à grande vitesse est très nuisible à la rapidité des arrêts, tandis qu'il est de peu d'importance à faible vitesse, si on se place toujours au même point de vue.
Dans le cas où nous admettrions pour Remarque I. le coefficient de frottement la valeur
l'équation devient
t3
dans ce cas particulier
y).
En admettant toujours une vitesse initiale vo
y
250f io8 \5
e
,
5;7
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+10)8)
Nous venons de voir que nous ne pouvions pas dépasser certaine valeur pour F exprimée par f, P ; cette valeur varie évidemment avec le coefficient d'adhérence, qui est de 1/4 par un beau temps. il y a donc une limite théorique à la rapidité des arrêts, c'est la résistance du point d'appui que l'on prend sur le rail. Tome II, 1882.
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