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41
STATISTIQUE DES
A. - MINES DE HOUILLE.
GROUPE DE LA LOIRE.
2.
1. - BASSIN DE SAINT-ETIENNE
1.
,..;
r-;
8
4 1
DATE de
LIEU de
l'acci-
l'accident.
dea
.
NOMBRE d'ouvriers
z ...'
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'C
e..,
c;
.,
Blesses.
CAUSES DE L ACCIDENT
Causes directes
de 1, accumulation
de Pi/1E1am-
du gaz.
du gaz.
8
0
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3
4
6
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noehe.la-,tiolière etIiruntioy (suite).
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Tués.
Département de la Loire.
a,
Concession de
4ii
ACCIDENTS DE GRISOU.
7
Causes
OBSERVATIONS.
indirectes.
11E01111
10 dOT
Tonnes 97
1858
Puits
n
de
2 Déla Chaux cembre Grande couche
511
3
169.010
Obstruction du
Lampe
de sûreté ouverte.
plancher de Iravoit d'un puits ,
Brûlés assez griève-
de l'air sous'.
des ouvriea
g ui
avait 011Ter
sa
ipar des débris qui empêchaient le renouvellement
nient.
Imprudence di l' un
lampe.
Indications générales. Pendant le creusement du puits, on avait constaté un dégagement assez sensible de grisou; ce qui avait motivé aussitôt l'emploi exclusif des lampes do sûreté.. Ces lampes étaient remises fermées aux ouvriers.
Circonstances de l'accident. Quatre ouvriers terminaient le moëllonnage du puits de la Gliaux, au passage de la grande couche. Une explosion de grisou ,oient les circonstances sont restées inconnues, se produisit. Trois des maçons furent brûlés plus ou moins grièvement ; le quatrième ne fut pas atteint.
au des-
Remarques particulières: Le plancher sur lequel les ouvriers s'échafaudaient pour leur travail, était généralement couvert de débris qui en obstruaient les fissures et empêchaient Pair de se renouveler au-dessous. On a supposé que le grisou avait pu ainsi facilement s'accumuler sous ce plancher. Tous les ouvriers ont nié avoir dévissé leur lampe ; mais on en a retrouvé une ouverte au fend du p,uitest.esTirestcfois on n'a pu savoir à qui elle appartenait, les lampes remises aux ouvriers n'étant pas
-98
1859
3 Oc, tobre
Puits
n
Adrienne
3.
440i
169.683
Lampe
Dégagement
à feu nu.
spontané de gri-
Brûlés-
sou.
légèrement.
Imprudence des
victimes, qui savaient pas attendu
a visite du gouverneur pour pc-
nitrer dans leu
Indications genérales.
On n'avait jamais constaté la présence du grisou clans ces travaux. Les ouvriers s'y servaient de lampes à feu nu-
it leur était expressément recommandé de ne pénétrer dans leurs chantiers qu'après la visite do ceux-ci par le gouverneur.
Circonstances de l'accident. Trois ouvriers, qui travaillaient dans le premier niveau de gauche du puits Adrienne, furent légèrement brûlés par l'explosion d'une petite quantité de grisou, qui s'était enflammé sur ladampe à feu nu de l'un d'eux. L'explosion fut presque insignifiante.
Remarques particulières:
Len ouvriers qui avaient travaillé quelques heures auparavant dans
loae.evheailili:.ier, n'y avaient pas constaté la. moindre trace de gaz, non plus que le sous-gouverneur qui,
4 heures avant l'accident, s'y était avancé jusqu'à 2'n du front de taille, sur un tas de charbon abattu Onanattribué l'explosions in un dégagementispontané de gaz. '
Mesures prises à la suite de l'accident. exclusif dis lampes de sûreté dans ces Pravaux.
Les exploitants ont prescrit immédiatement l'emploi
i,
93
1860 Puits ri Avril Charles.
Traversbanc de la 30 à la 11°
couche.
,,
1,
655
251.299
ii de
Brillé légèrement..
Lampe sûreté,
Imprudence de la victime
dontletreillis avait incliné sa avait rougi. lamie de sûreté 'pour allumer de
l'amadou
Circonstances de l'accident.
On perçait un travers-banc de recherches do la 3° à lui 4e couche. Un ouvrier ayant à faire partir un coup do mine, inclina sa lampe de sûreté pour allumer un morceau inbardi jolua
elle
treillis. Une petite quantité do grisou qui se trouvait dans la travers-badoi Prit feu
égcioraremleent
L'explosion s'est réduite à tillé simple flambée de gaz.
lb