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COMBUSTION DES MÉLANGES GAZEUX.
TEMPÉRATURES DE COMBUSTION.
DATES.
110
3
5 XI, 1 13 VII, 2 4 XI, 2
4
30 VI, 2
5
13 VII, 3
6
I VIII
13,3 28,3 49,1 52,0 52,3 55,5 57,8 60,0 61,5 66,8
Refroidissement des gaz permanents.
NUMEROS.
Expression de la vitesse du refroidissement de l'acide carbonique. Influence de la densité du mé-
2
1
lange gazeux. - L'expérience (4 m, 2) nous donne la loi du refroidissement de l'acide carbonique pendant la période de non dissociation. Cette loi est représentée parla formule
7
8
9 10
dy
9 V, 1 8 V, 2 1 VII, 1 8 V, 3
6
6
5,5 5 5
5 6 5
4 5
92,0 47,7
497
30,7 28,5 29,0
92,5 47,5 30,5 29,2 29,1
31,0 30,0 29,6 29,6 29,3
24,4
75 = 0,0055 y + 0,000 017 802;
ou, en transformant les pressions en températures = 0,0053 0 + 0,000 0307 02, Gride
a
la durée de la vibration du manomètre étant prise pour unité. En prenant la seconde pour unité on a (d0
= 0,180 0 + 0,001 01 02.
On voit, sur ce tableau, que le coefficient a paraît rester à peu près constant, se montrant ainsi presque indépendant de la pression ,-aro. Ce coefficient est au reste assez mal déterminé ; en raison de sa petitesse, il n'a en effet presque aucune influence sur la vitesse de refroidissement aux hautes températures, pour lesquelles seules notre procédé d'expérimentation présente des garanties suffisantes d'exactitude. Quant au coefficient f3, si l'on se borne d'abord à l'exa-
Nous rangeons dans le tableau suivant les coefficients a et f3 de la formule (d0
(71.)
cce
f3
tels qu'on les déduit d'un certain nombre de nos expériences faites avec des mélanges d'oxyde de carbone, et d'acide carbonique ; ils ne contenaient, après combustion, que de l'acide carbonique avec la légère quantité de va-
peur d'eau qui sature le gaz à la température ordinaire. Nous avons rangé ces expériences suivant les valeurs croissantes de c'est-à-dire suivant les valeurs croissantes de la densité que possède le mélange gazeux après la combustion.
men des expériences i à 5, dans lesquelles la pression ee, subit de fortes variations, depuis I 3'°',3 jusqu'à 5 2c°2, 5, on voit avec netteté que f3 croît lorsque ,n-0 décroît. Si l'on
place les points de ces cinq expériences sur une ligne ayant f3 pour ordonnée et -t pour abscisses, on voit que cette ligne est presque rigoureusement droite, en ayant un coefficient angulaire égal à i o-6. 113o et coupant l'axe des ordonnées au point io-6. 7,5. On a donc
(te° étant toujours exprimé en centimètres de mercure. On a inscrit dans la dernière colonne du tableau, les vaTome IV, 1883.
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