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COMBUSTION DES MÉLANGES GAZEUX.
présentée par une expression de la forme dm.
TEMPÉRATURES DE COMBUSTION.
493 où la pression maxima réelle s'exerce, on ne s'arrêterait qu'à
l'instant qui correspond au milieu de la période dont la
adt.
Pendant la période de propagation avec refroidissement, si nous admettons qu'à surface de refroidissement égale, la variation de pression suit la même loi, on aura
durée est Dr. Cela reviendrait à ajouter à la pression maxima re-
une
correction C représentant l'accroissement de l'ordonnée de la courbe des pressions pendant la durée - D,.. 2
Pour que ce mode de correction fût exact, il faudrait
= asdt.
f
que la température de la masse gazeuze variât, en passant
Pendant la période considérée, la surface s de contact entre le gaz brûlé et la paroi est variable à chaque instant, mais nous avons vu qu'elle varie à très peu près porpor -
tionnellement au temps. Comme elle est égale à o au commencement, et à i à la fin de la période dont nous représenterons la durée par D nous aurons, au temps t quelconque écoulé depuis le commencement de la période, s
On aura donc
clu7atdt
2
et si nous intégrons entre les limites de temps, o et D la perte de pression produite par l'influence de la paroi sera donnée par l'équation (17.
,S1), at d t o
suivant la même loi que cela a lieu lorsque la propagation est achevée. Il ne peut pas en être rigoureusement ainsi parce que, pendant la propagation, la surface libre de l'onde enflammée est à une température constante qui est la température de combustion. La correction C telle qu'on vient de la calculer est donc trop faible et ne donne qu'une valeur 111 approchée par défaut de la pression H cherchée. Pour avoir une limite supérieure de II, nous remarquerons qu'on ferait une correction trop considérable si l'on
supposait que pendant la durée - D,. la pression finale la
ne) =
o f (-)
de la pression II à la pression (tirm pendant la durée D
aD,
D,. = r
c'est-à-dire qu'il suffirait de prolonger, d'un temps égal à la demi-durée de la propagation avec refroidissement, la courbe des pressions, pour obtenir la pression réellement due à la
combustion. Pour cette opération, on suivrait la même marche que celle qui a été exposée pour trouver la pression maxima réellement développée. La seule différence consisterait en ce qu'au lieu d'arrêter ce prolongement au moment
plus faible est égale à D, ou même à sa valeur approchée par défaut H,. Cette correction C' est celle que l'on obtiendrait en prolongeant la courbe jusqu'à l'instant qui correspond non plus au milieu, mais au commencement de la durée D,. et prenant la différence des ordonnées correspondant respectivement au commencement et à la fin du temps D,..
La pression H sera ainsi comprise entre une valeur trop C'. On pourra C et une valeur trop forte faible er adopter pour II la valeur moyenne
-I-
C
,
Prenons pour exemple l'expérience (4 XI, 5). Nous avons trouvé'
=
et
cl
dt
-
14.105.