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352 APPAREILS EMPLOYÉS DANS LES MINES ALLEMANDES
rées, tant par la direction de ces houillères que par l'administration prussienne, comme un témoignage de la parfaite sécurité de l'appareil.
M. Pelzer a du reste modifié le parachute primitif représenté par la fig. 10, en substituant à la chaîne mie série de dents portées : 1° par un disque B; 2° par une pièce I reliée au disque B par deux fers plats E qui sont
munis à leurs deux extrémités de boulons d'articula-
tion bb portés l'un par le disque B, l'autre par la pièce I. La fig. 11 représente la position du parachute pendant la circulation normale de la cage; celle-ci porte deux cornières C destinées à recevoir l'extrémité libre des
pièces I. Si le câble vient à se rompre, les disques B, entraînés par la rotation des axes 0, tournent dans le sens des flèches (fig. 12); les pièces I s'éloignent des cornières C, et, retenues par les guides courbes À for-
EN VUE DE PRÉVENIR LES ACCIDENTS.
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opposés. Ces courants sont lancés dans un câble isolé, dont l'âme en fer est revêtue d'une enveloppe de plomb qui protège le fer contre les eaux acides du puits. Le récepteur, auquel arrivent les courants, se compose d'un électro-aimant, entre les pôles duquel se trouve un aimant à aimantation constante portant un marteau de sonnerie. A l'état de repos, cet aimant reste, en raison de son aimantation propre, en contact avec l'un des pôles de l'électro-aimant. Mais lorsque les courants alternatifs
parcourent le fil de l'électro-aimant, l'aimantation et le changement perpétuel des pôles de ce dernier, déterminent une attraction alternative de l'aimant par chacune des extrémités de l'électro-aimant, et le marteau que porte l'aimant frappe ainsi la cloche de la sonnerie. 6° Appareils de contrôle.
més de simples fers à T, se rabattent en face de la partie rentrante mnpq du profil du disque B (fig. 13). C'est cette partie rentrante qui, dans la position normale du parachute (fig. 11), se trouve en face du guidage G, et permet
Cet appareil, Indicateur de vitesse, système Gerhardemployé dans le district de Sarrebrtick, donne à la fois
la libre circulation de la cage. Comme l'indiquent les fig. 12 et 13, les dents du disque B pénètrent dans le bois de guide, mais la pénétration atteint son maximum lorsque la rotation des axes 0 amène la pièce I dans la
déplacement d'une aiguille sur un cadran ; 2° un enre-
position de la fig. 14.
une indication de la vitesse, à chaque instant, de l'arbre des bobines, indication rendue visible par le gistrement automatique de la vitesse fourni par une pointe traçante. La fig. 15 de la P1. rx en donne la coupe verti-
cale, et la fig. 16 la coupe horizontale. Une courroie de transmission communique le mouvement de l'arbre des bo-
5° Signaux d'extraction. Appareil de Sarrebruck.
L'appareil consiste en une machine magnéto-électrique Siemens , composée d'un cylindre de fer doux entouré d'un fil métallique, que l'on peut faire tourner au moyen d'une manivelle entre les pôles de puissants aimants. Ce déplacement du cylindre de fer doux par rapport aux aimants détermine la production de courants d'induction, alternativement de sens
bines à la poulie a, et par suite à l'arbre bb sur lequel elle est calée. L'engrenage conique d transmet la rotation de l'arbre b à l'axe vertical X d'un régulateur à boules F, que les tiges g relient au manchon M. A l'état de repos de la machine d'extraction, les boules F sont au contact de l'arbre X, et le manchon ni est au sommet de sa course. Quand, au contraire, la machine est en mouvement, les boules s'écartent de l'axe X et le manchon descend. A ce manchon est d'ailleurs relié un