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DESCRIPTION DES COUPES GÉNÉRALES.
GÉOLOGIE DES PYRÉNÉES OCCIDENTALES.
assertions qui sont en désaccord avec les observations de mes devanciers. Calcaire corallien construit à Badiolites 1° Al". Cantabricus, Douvillé, dit Roches de Sainte-Colome, e ploité le long de la route de Sévignacq à Louvie-Juson,a l'extrémité du pont d'Audy. Faille. f. 20 A15.
Sous le village de Sainte-Colome, on trouve
des calcaires marneux noirs, parcourus par de nombreu. ses veines de calcite, et des marnes souvent schistoïdes dominant à la partie supérieure. Les couches paraissent plonger régulièrement vers le nord sous un angle de 15° environ.
Belemnites semicanaficulatus, Blainv.
Rhynchonella sulcata, Park. Échantillon iden. tique à des exemplaires du Gault supérieur de
Cambridge, déterminés par Davidson,
(École
des Mines.) Gastéropodes, ind. 3° Cep.
f
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Faille.
Couches analogues à celles du n° 3, sont -également très tourmentées au voisinage des argiles bigarrées et paraissent avoir subi l'influence de sources 5° CO.
thermales ; elles sont rougeâtres, comme brûlées. Les alluvions cachent ensuite la succession; 6° Ail.
cependant on voit le long de la route d'Eaux-Chaudes un peu avant d'arriver au Pic de Rébénacq des calcaires
coralliens et compacts avec des marnes noires sans fossiles (7).
Dans le
vallon parcouru par la route des Eaux-
Chaudes, on rencontre de nombreux blocs glaciaires formés généralement de roches éruptives anciennes granites, granulites, diorites, etc. En gagnant la route des Eaux-Chaudes par le chemin qui contourne la partie méridionale du Pic de Rébénacq,
on relève la succession suivante entre le k. 9,9 et le k. 8,4 qui se trouve placé à la sortie sud du village de Rébénacq :
Marnes noirâtres, dures, K. 9,9 à k. 9,8. micacées, rarement schisteuses, parfois terreuses, entre8° Ap2.
A quelques centaines de mètres au nord de
Sainte-Colome, on rencontre une alternance assez irré gulière de grès, de grès schisteux, de calcaire silicem et de marnes schisteuses ou terreuses, micacés, souvent ferrugineux, disposés en lits généralement minces et très tourmentés. Ces couches, riches en impressions de Fu. coïdes, sont traversées par un filon et un pointementde diabase ophitique (?) to très décomposée. Faille. f. Argiles bigarrées gypseuses avec bancs 4° Tr. calcaire dolomitique noir. Le gypse, dispôsé en lits et et amas, est exploité à gauche de la route de Sainte-Colon d
à Nay. A quelques centaines de mètres à l'ouest de carrière, au fond d'un vallon, se trouvent des source sulfureuses et ferrugineuses.
mêlées de bancs de calcaire marneux fétide et d'amandes
de calcaire subcorallien, à entroques, dans les parties les plus rapprochées des calcaires qui forment le pic. Ces couches sont un peu tourmentées, cependant le plonge-
ment dominant est d'environ 45° vers le sud-ouest. A quelques mètres au-dessus du niveau de la route dans le sentier qui conduit vers le pic, on trouve un filon de po?phyrite à structure 2nicrolithique enchevêtrée (7z).
À 20 mètres environ au nord du k. 9,9 , un peu audessus du niveau de la route, on voit un banc pétri d'Ostrea. C'est probablement dans ce banc que Delbos a trouvé Ostrea macroptera qui lui a permis de classer ces couches à la partie supérieure du terrain néocomien (loc.