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L'INDUSTRIE MÉTALLURGIQUE, ETC.
SUR L'INFLAMMABILITÉ DU GRISOU.
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à la marine nationale, mais bien souvent aussi aux marines étrangères qui rendent, sous cette forme aux progrès de notre métallurgie, l'hommage le plus désirable, c'est-à-dire celui qui se traduit par des commandes multipliées. Septembre 1890.
SUR L'INFLAMMABILITÉ DU GRISOU PAR LES ÉTINCELLES PROVENANT DU CHOC DE L'ACIER ET SUR L'EMPLOI DES LAMPES ÉLECTRIQUES
Rapport présenté à la Commission(*) chargée de l'étude des explosifs
et des lampes de sûreté par la Sous-Commission (**) désignée par elle pour procéder aux recherches expérimentales.
ÉTINCELLES PRODUITES PAR LE PIC.
Peut-on mettre le feu à un mélange inflammable d'air
et de grisou par les étincelles provenant du choc de l'acier contre un corps dur? II semble qu'une telle
question devrait être résolue depuis longtemps. Il n'en est rien cependant, comme on va le voir. Les premières recherches scientifiques qui aient été faites sur le grisou sont celles que l'illustre Davy a exposées dans le mémoire si justement célèbre, lu à la (*) La Commission est composée de MM. Haton de la Goupilhère, Inspecteur général des mines, membre de l'Institut, prési-
dent; %liard et
Inspecteurs généraux des mines ;
Sarrau, IngénieurLorieux' en chef des poudres et salpêtres, membre de l'Institut; Carnot, Aguillon, Ledoux, Le Chatelier, Ingénieurs en chef des mines. (") La Sous-Commission est composée de MM. Mallard, Inspec-
teur général, Le Chatelier, Ingénieur en chef, et Chesneau, Ingénieur ordinaire des mines. Tome XVIII, 1890.