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PRÉPARATION MÉCANIQUE DES MINERAIS
féré sacrifier cette facilité d'accès des tables inférieures à la réduction des pertes dans le traitement.'
DANS LA SAXE, LE HARTZ ET LA PRUSSE RHÉNANE.
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ble de même dans l'espace 4, d'où elle est évacuée par le tuyau k,. Enfin la troisième classe, c'est-à-dire la
plus légère, est reçue dans le canal f et est entraînée (b) Appareils. i° Spitzluttenapparat Meinicke. Le spitzluttenapparat Meinicke, (Pl. II, fig. 16 à 19 et Pl. III, fig. 1 et 2), est tout entier contenu à l'intérieur d'un cylindre de tôle surmontant un tronc de cône dont la petite base est la base inférieure. La lavée arrive à la partie supérieure de l'appareil par le canal a et l'entonnoir h qui le verse dans un tuyau c, rétréci à sa partie supérieure. Le canal limité par deux surfaces tronconiques, reçoit à son tour cette lavée qu'il amène dans l'espace annulaire e où elle s'élève pour redescendre au delà du bord supérieur de l'enveloppe extérieure de e, dans un deuxième espace annulaire c. A la partie inférieure de ce dernier, la lavée s'engage dans le canal d, dont la forme est analogue à celle du canal d, et qui la conduit dans l'espace e, où elle suit une marche ascendante comme dans l'espace correspondant e,. Le canal f, qui entoure l'appareil, reçoit la lavée et l'amène au conduit f,. Des enveloppes concentriques à
par le courant qui sort de l'appareil.
celles qui limitent les espaces e, et d, d'une part, e, et d, de l'autre, déterminent dans chacun de ces espaces des subdivisions g,, h, h'; et g h h', qui aboutissent, les premières dans l'espace i, et les secondes dans l'espace
le canal h,' (ou 11;) avec une vitesse supérieure à la vitesse
L'espace i, communique avec le tuyau d'évacuation kl,
'
et l'espace i, avec le tuyau correspondant k,. L'eau de lavage est amenée dans le premier de ces deux espaces et i, par le tuyau 1, et dans le second par le tuyau 12; les prolongements et 14 mettent les canaux h, et h, respectivement en communication avec les espaces c, et c2. Dès lors, les grains les plus lourds (c'est-à-dire la première
classe) descendent de l'espace annulaire el par g, h, et d'où ils sortent par le tuyau k dans l'espace deuxième classe de schlamms provenant de e, se rassem-
Toutefois les grains d'une grosseur déterminée entraînent, dans leur chute, des grains plus fins appartenant aux classes suivantes, et c'est à l'élimination de ces derniers que sont destinés les deux courants d'eau de
lavage amenés, l'un par le tuyau l et l'autre par le tuyau 12 L'eau de lavage rencontre, dans leur chute, les
grains de la classe correspondante et entraîne les dans schlamms les plus légers par les canaux 14 (et les espaces c, (et e2) et de là dans le canal suivant où ils accompagnent, dans leur descente, les grains de la sorte immédiatement inférieure. Les canaux h, h peuvent, soit entourer complètement l'appareil, soit au contraire se diviser en une série de conduits distincts a a' a"... limitées par les tôles courbes ni (Pl. II, fig. 20); cette division doit, dans ce cas, être également appliquée aux canaux h; et 4 et . On réalise ainsi une économie d'eau de lavage. On peut d'ailleurs la faire entrer dans
dont elle est animée à sa sortie du canal (ou h.'2'), ou inversement; il suffit, pour cela, de choisir en conséquence les dimensions de la section des canaux hi et h", (ou 14 et h'2'); il faut, en tout cas, que les canaux h, h; h", (ou h, 14 ) aient la même section à leur point de jonc.. tion. Indépendamment de la fig. 16 qui représente la coupe
verticale de l'appareil, de la fig. 19 qui donne une partie de la même coupe à plus grande échelle, de la fig. 17 qui est la projection horizontale correspondant à la fig. 16, et de la fig. 20 qui donne le développement de l'une des sur-
faces coniques limitant le canal h la Pl. II contient la coupe horizontale suivant I, II
(fig.
18) de la partie co-
e.0