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PROCÉDÉS D'ESSAI
antérieurement de bonne qualité, contester leur utilité relative.
il semble difficile de
DES MATÉRIAUX HYDRAULIQUES.
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cipe , mais devenue très générale dans la pratique, faire varier la proportion normale de 12 p. 100 d'eau pour la confection des mortiers ;
Essais de qualité.
5° Emploi de toutes les briquettes rompues pour le calcul de la moyenne.
Les seuls essais sur l'utilité desquels tout le monde soit d'accord sont au nombre de deux : l'essai de rapidité de prise et l'essai de résistance à la rupture.
Essais d'identification. Les essais d'identification dont l'usage peut être recoin-
Essai de rapidité de prise. Il faut conserver cet essai sous sa forme actuelle, en attendant que l'essai
sur mortier qui sera indiqué aux essais d'identification ait fait ses preuves. Les dispositions du cahier des charges de Boulogne, qui sont aujourd'hui les plus généralement adoptées, doivent donc être gardées telles quelles, en indiquant seulement parallèlement à l'emploi de l'eau de mer celui de l'eau douce ; le choix de l'eau sera fait d'après la nature des travaux auxquels le ciment est destiné. Essai de résistance à la rupture. Il est à désirer que l'essai de résistance à la rupture se fasse exclusivement par écrasement ; mais la question n'est pas encore mûre en ce qui concerne la nature ,des machines et les dimensions des briquettes d'épreuve à employer. Il faut donc provisoirement conserver la rupture par arrachement, qui est la plus usitée aujourd'hui. On peut, pour cet essai, conserver la rédaction du cahier des charges de Boulogne, après modification des points suivants 1° Suppression de l'essai de pâte piire ; 2° Substitution de l'eau douce à l'eau de mer ;
3° Substitution du sable de Leucate au sable de
quartzite broyé ; 4' Suppression de la tolérance, exceptionnelle en prin-
mandé d'une façon générale, sans préjudice des essais variés que chacun pourra y ajouter à sa guise, sont, dès à présent au nombre de trois : finesse de mouture, durcissement initial et déformation par les expansifs.
L'utilité d'un semblaEssai de finesse de mouture. ble essai est reconnue d'une façon générale et il pourrait
à ce titre figurer au nombre des essais de qualité. Le seul motif pour l'en écarter provisoirement est que l'on n'est pas fixé d'une façon définitive sur les avantages ou inconvénients d'une mouture plus ou moins fine. Le cahier des charges de Boulogne ne contient aucune clause relative à la finesse de' mouture. Les cahiers des
charges des pays étrangers limitent la proportion des grains retenus sur le tamis de 900 mailles. La Commission d'unification propose un tamisage à trois tamis : 320, 900 et 4.900 mailles au centimètre carré. De ces tamis, celui à 900 semble seul devoir être conservé ; il peut y avoir intérêt pour se faire une idée de la
proportion de fine poussière de compléter ce tamisage pour
la détermination de la quantité d'eau nécessaire pour la confection de la pâte normale.
Les constantes numériques de cet essai seront fixées après des essais comparatifs faits sur des produits reconnus de bonne qualité provenant des usines auxquelles le cahier des charges doit s'appliquer. Les ingé-