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124 ÉTUDE EXPÉRIMENTALE SUR LA VAPORISATION Nombre de tubes (en laiton
185
Diamètre des tubes s extérieur
0m,050
.
(lisses, ordinaires). intérieur. Section totale intérieure s courante T des tubes. t à l'intérieur des viroles. t Surface de grille en contact avec le combustible. Surface de grille (projection sur un plan horizontal ) G
0.,046 0.2,30.747 (>2,18.833
T
Rapport
0,137
Rapport .tà-
0,084
Voûte longue. Voûte courte Tenbrink
Surface de chauffe du foyer.
Surface intérieure des tubes.
6,00
7..00
5.,00
10m2,02
J'Orléans (Pl. III, fig. 2, 3 et 4); avec cette disposition A,
l'air entre par l'arrière sur toute la largeur du foyer sous forme d'une lame horizontale dont on peut régler ,exactement la section ; un déflecteur règne sur toute la
largeur du foyer de manière à rabattre l'air sur le combustible et à produire concurremment avec la voûte et le Tenbrink le brassage des gaz avant leur passage dans les tubes.
14,2,19
4.,50
4m,00
3.,50
Appareils de mesure de l'eau d'alimentation.
3m,00
?187.2,15 160.2,41 133m2,68 120.2,31 106.2,94 9302,58 80.2,21
tubes; celle du Tenbrink est mesurée en comptant sa surface totale, dessus dessous et sur les côtés.
L'alimentation était faite au moyen d'un injecteur du modèle habituel de la Compagnie Paris-Lyon-Méditerranée.
Comme, dans tous les essais de cette nature, il était
Le tableau suivant résume les dispositions prises pour la voûte en briques et le Tenbrink (voir Pl. III, fig. 2, 3 et 4)
125
1002,12
La surface de chauffe du foyer est comptée en déduisant les trous des
Nota.
DANS LES CHAUDIÈRES DE LOCOMOTIVES.
indispensable de ramener l'eau rigoureusement à la même
hauteur au commencement et à la fin de chaque essai. Voici comment on y arrivait : le niveau réglementaire était à 100 millimètres au-dessus du ciel du foyer comme
Surfaee de grille
SECTIONS
en----------
projection
(courte)
Bouilleur Tenbrink.
.
.
...
a
b
b
2,24
in0,350
in-0 0,470
in-', 0,15
in, 0,20
2,24
0,350
0,570
0,15
0,25
2,24
0,313
0,120
0,14
0,18
.2 Id.
.
a
Gr
Voûte en briques (longue)
RAPPORTS
U
On sait que lorsque l'on fait usage de la voûte en briques ou du Tenbrink, il faut faire entrer de l'air au-dessus du combustible, pendant quelque temps, après le chargement. Cette précaution est nécessaire pour achever de brûler l'oxyde de carbone qui se forme aussitôt après le chargement. Pour opérer cette rentrée d'air, on a adopté le clapet employé à cet effet par la Compagnie
habituellement ; dans toutes les expériences, on a toujours maintenu l'eau naturellement à un niveau supérieur au niveau réglementaire. Le tube de niveau d'eau
était muni d'une bague mobile permettant de marquer un point de repère ; voici à quoi servait cette disposition. Le commencement de chaque expérience étant déter-
miné ainsi qu'il sera dit plus loin d'après l'état du feu, .on adoptait, comme niveau normal de l'expérience, le niveau de l'eau au moment précis où on la commençait ; on plaçait la bague mobile à cet endroit et l'on conservait
pendant toute l'expérience un niveau aussi voisin que possible de ce niveau normal. A la fin de l'expérience, on faisait en sorte de ramener le niveau exactement à ce niveau normal.
L'eau prise par l'injecteur provenait de deux caisses -
de 1.000 litres chacune, munies de tubes de niveau