Annales des Mines (1894, série 9, volume 6) [Image 181]

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354

ANALYSES DES EAUX MINÉRALES FRANÇAISES.

BULLETIN.

355

STATISTIQUE DE L'INDUSTRIE MINÉRALE DE L'ESPAGNE

ANALYSES

EN 1892-1893 (').

SUBSTANCES MINÉRALES.

Houille

Lignite Roches asphaltiques Minerais de fer. de fer argentifères de cuivre. de plomb de zinc d'étain de mercure d'argent d'antimoine de manganèse de cuivre et cobalt

de nickel et cobalt de nickel.

de soufre. Pyrites de fer.

de fer et de cuivre . arsénicales

Wolfram

Phosphate de chaux. Sel (de mines)

DES

QUANTITÉS

VALEUR

tonnes métriques 1.458.660 21.053

francs 11.549.555

668

5.425.600 436 685 338.662

62.963 243 31.373

1.298 183 99

1.777 24 29

24.722 213.772 2.235.245 442 16 760

39.229

136.958 6.005

20.399.452 2.181 30.090

30.812.713 1.875.649 26.453 9.305.766 1.285.074 3.795 450

argentifère

Zinc Mercure.

Argent (en kilogrammes)

134.299 63.218 65.925 26.481 16.565 69.146 82.567 5.972 2.086 60.859 kii

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AU BUREAU D'ESSAI DE L'ÉCOLE DES MINES

Par M. ÀD. CARNOT, Inspecteur général des Professeur à l'École nationale supérieure des

inkr. .n, \b,,\XJ

360

4.485 298.234 534.530 11.128.773 5.153 4.050 5.537 564.734

9.376.115 14.259.407 13.261.963 18.540.607 4.969.592 17.237,288 29.278.598

4.323.108-9.273.089 9.447.657

(Extrait de la Revue universelle des mines et de la métallurgie.) (*) Du I.* juillet 1892 au 30 juillet 1893.

EXÉCUTÉES

213.240

MÉTAUX.

Ponte Fer Acier Cuivre (de cément et raffiné). Mattes cuivreuses Plomb.

EAUX MINÉRALES FRANÇAISES

L'analyse des eaux minérales françaises forme une partie importante du travail effectué chaque année par le Bureau d'essai de l'École des mines , importante par le temps et les soins minutieux qu'elle exige, importante aussi par ses résultats, puisqu'elle permet aux médecins de juger des propriétés thérapeutiques des eaux; c'est ainsi que l'Académie de médecine exige

presque toujours la production d'analyses de l'École des

mines pour se prononcer sur l'utilité des sources nouvelles, pour lesquelles on sollicite du Ministre l'autorisation d'exploiter sur place ou de vendre les eaux. Le plus souvent il arrive que les propriétaires des sources, à qui cette autorisation a été accordée, publient les analyses qui en ont été faites, en sorte que le travail, toujours gratuit, du Bureau d'essai se trouve utilisé et profite à la santé publique. Cependant, ces publications irrégulières et incomplètes laissent des lacunes regrettables à divers points de vue. Tome VI, 100 livraison, 1894.

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