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THÉORIE DE LA STABILITÉ DES LOCOMOTIVES
Soit en augmentant la vaporisation des chaudières, soit en améliorant le rendement du moteur. Le premier moyen conduit à un accroissement simultané de la puissance et du poids, d'où il résulte que la puissance par unité de poids ne change pas sensiblement. Cela ne résout donc pas le problème, car ce qu'il faut obtenir c'est une augmentation de la puissance pour un
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THÉORIE DE '1,A STABILITÉ DES LOCOMOTIVES
TABLE DES MATIÈRES. Pages (*). 413
INTRODUCTION
poids invariable. Quant à l'amélioration du moteur, la recherche du ren-
PREMIÈ'RE PARTIE. OSCILLATIONS D'UNE LOCOMOTIVE SUR LES RESSORTS.
dement exact des machines montre quelle est la limite qu'on ne pourra pas dépasser avec la locomotive à vapeur.
Cette recherche conduit, en effet, à apprécier les causes' de perte de rendement et jusqu'à quel point on peut y
remédier. Il est facile de démontrer que, par rapport auX locomotives ordinaires à .simple expansion et à distribution par tiroir, le maxiMum d'économie qu'on puisse faire est d'environ un tiers. Ce résultat n'a pas été encore obtenu, il est vrai; mais il peut l'être sans grande difficulté par des moyens dont la plupart ont déjà reçu la sanction de l'expérience. Cette économie d'un tiers sur la vapeur
dépensée permettra d'accroître d'autant le travail produit. On voit ainsi apparaître la possibilité de réaliser, avec les charges actuelles des trains, des vitesses moyennes de marche variant entre 100 et 120 kilomètres
I.
Équations générales des oscillations d'un véhicule porté par des ressorts
III.
Équations de condition Intégration des équations
IV.
Étude de la courbe formée par les rails sous les roues
V. VI.
d'une locomotive Réactions de la crosse du piston sur les glissières Oscillations propres des ressorts
II.
427 429 431
VII.
Influence des dénivellations de la voie sur les oscillations des ressorts
VIII.
Loi de périodicité des oscillations Amplitude des oscillations Oscillations dues aux réactions de la crosse du piston sur les glissières Influence de la différence de flexibilité des ressorts Cas d'une locomotive à quatre essieux Cas d'une machine à bogie
IX. X.
XI. XII.
XIII.
à l'heure. La locomotive à vapeur ne permettra jamais d'aller au-delà, et il en est de même d'ailleurs de tout
DEUXIÈME PARTIE.
système de moteur qui devra se transporter avec son train.
MOUVEMENT DE LACET.
415 419 423
434 438 445
454 45'7 461
462
La traction par l'électricité, au moyen de conducteurs électriques placés le long des voies, est seule capable, si elle peut jamais être appliquée, de reculer ces limites.
CHAPITRE PREMIER.
Mouvement de lacet d'une locomotive.
Forces appliquées. Pages ('").
Bourges, 8 février 1896.
I.
Considérations sur les mouvements parasites. Leur définition
(*)
Torne IX, 1" semestre 1896.
(**) Tome X, 2 semestre 1896.
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