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RÉGULATEURS 452 a huile donne une valeur de 'F variable et proportionnelle au carré de la vitesse de déplacement du manchon ; pour qu'il arrête le manchon sur une même longueur de course que l'effort F, il faut qu'il donne au début une résistance
supérieure à F, résistance qui va en décroissant jusqu'à zéro. Sa puissance devra être telle qu'il offre un même travail résistant total qiie la valeur F x),c avec le même chemin parcouru -Àc. Il y aura donc, au début, une pertur-
bation relative de vitesse un peu supérieure à celle qui entre dans les calculs précédents ; mais peu importe, puisque l'effet du frein à huile va en décroissant à mesure que la vitesse du manchon diminue ; le manchon ne sera
alors plus du tout troublé par le frein à huile lorsque le manchon se rapprochera de sa position d'équilibre, et l'oscillation. s'arrêtera ; le frein à huile est donc encore plus favorable que le frein constant F. Au premier abord, on peut trouver que j'ai choisi pour les fractions ), et ;lune valeur un peu forte en les prenant égalés à 0,25 et 0,33, mais il n'en est rien, car il ne faut pas oublier que je me suis placé dans l'hypothèse la plus défavorable, qui ne se réalise presque jamais. Cependant je né conseillerai pas de prendre ces valeurs de 0,25 et 0,33 dans tous les cas possibles ; c'est une moyenne : on peut prendre un peu moins ou mi peu plus, suivant que les .variations du travail résistant de l'atelier doivent être plus ou moins grandes.
Je ne saurais trop répéter que, quand je parle de la -1
force vive du volant par cheval, il s'agit de la force en
2 chevaux maxima de la machine correspondant à la position
inférieure du manchon du régulateur. Cela montre qu'il faut avoir bien soin de régler cette force motrice maxima en rapport avec l'atelier, sans qu'elle soit trop supérieure au maximum du travail résistant évalué en chevaux ; sans cela la formule (4) obligerait à donner au volant un poids
ORGANES DE RÉGLAGE ET VOLANTS DES MACHINES
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exagéré. J'insiste sur cette remarque, car elle est destinée
à changer les habitudes de certains constructeurs de machines Corliss ; la pratique leur a déjà montré, d'ailleurs,
depuis quelques années, qu'il est mauvais de donner une trop grande valeur au maximum de la force en chevaux cette habitude fâcheuse a donné de véritables insuccès dans la régularisation, en exposant le régulateur à des oscillations lentes déplorables dans la pratique. S'il des régulateurs de Watt et de Farcot. §19. s'agissait, non plus d'un régulateur de Porter, mais d'un régulateur de Watt et de Farcot, alors P ne serait plus négligeable par rapport à Q ; dans ce cas, nous allons reprendre la même théorie en suivant le même plan. Dans ce cas, l'équation (1) subsiste, ou 75 (I)
x
X
L'équation (2) a la même forme qu'au paragraphe pré-
cédent, mais il faut tenir compte, non seulement de la -1 force vive axiale du manchon du régulateur; mais aussi 2
-P V21 de la -1 force vive des boules de la composante 12 2 g précédent. qui a été définie au paragraphe Pour cela je désigne par c' le chemin parcouru par une boule sur la circonférence AB (Pl. IX, fig.' 4) pendant que le manchon parcourt sa course totale c; quand le
manchon prend la vitesse -c, il en résulte que la vitesse c
considérée de chaque boule est égale à. x- , 1
c'
-
c'
x
Donc la composante en question de la 5 force vive des