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REMARQUES ET EXPÉRIENCES
A L'OCCASION D'UN MANQUE D'EAU
communication D et G et le robinet purgeur R. La monture supérieure était reliée, par un tuyau BC, à une prise de vapeur A greffée sur la génératrice arrière du dôme
de verre. On notait le nombre de centimètres dont il s'emplissait et le temps nécessaire pour l'emplir : de la
1.08
vertical, à environ 86 centimètres au-dessus du plan d'eau.
Cette communication BC pouvait être à volonté faite d'un tuyau de 30, de 20 ou de 10 millimètres de diamètre intérieur ; dans les trois cas, le tuyau était en cuivre de 2,5 min d'épaisseur, non enveloppé, et présentait sensiblement 4,7 m de développement entre, ses brides ter-
vitesse d'emplissage ainsi mesurée résultait la valeur de l'afflux.
Par la première méthode, le tuyau de 20 millimètres de diamètre intérieur a donné de surface CONDENSATION PAR HEURE ET PAR mirrne cAunÉ
intérieure
extérieure
kflog,
kflog,
rieure à 5 kg : cm,
6,5
5,2
moyenne vers 9 4/2 kg : cm'.
8,3
6,6
minales. Sur la plus grande partie de sa longueur, il courait près ou contre la surface du calorifuge dont est revêtu: le générateur. Avec chacun de ces tuyaux de communication, deux méthodes ont été employées. Dans l'une, comme dans les
expériences de M. Chrétien, le tube de verre EF n'était pas relié à la chaudière par le bas, et servait simplement à recevoir l'eau de condensation qui se déversait à sa partie supérieure. On tenait le robinet de purge R entr'ouvert, et l'on réglait son ouverture de manière à avoir continuelle-
ment de l'eau à la base du tube de verre et de la vapeur à son sommet. Du robinet R pendait un tuyau de caoutchouc, à l'extrémité inférieure duquel l'eau était recueillie.
L'expérience était prolongée le temps nécessaire pour recueillir plusieurs litres d'eau. Dans l'autre méthode, la monture inférieure du tube de verre était reliée, par un tuyau HI de 10 millimètres, à un robinet de prise greffé sur la chaudière, comme la fig.
A une pression moyenne légèrement supé-
A une pression variant de 9 à 10 1/2,
Ce sont les points figuratifs a, b des diagrammes, fig. 3 et 4 (Pl. IV). Ils montrent approximativement comment, pour ce diamètre et dans ces conditions d'installation du tuyau, le taux de la condensation croît avec la pression. D'autre part, la même méthode, appliquée aux tuyaux
de 30 et de 10 millimètres de diamètre intérieur, sous une pression de 5 à 5 1/2 kg : cm2, a donné de surfaire CONDENSATION PAR HEURE ET PAR MÈTRE CARRÉ
hltérieure
61e montre, ùn peu au-dessous du plan d'eau. Le tube
de verre EF étant en état de fonctionnement normal, comme s'il avait constitué l'indicateur du niveau de Peau de la chaudière, on fermait, à un instant donné, le robinet G de la communication inférieure aussitôt, l'afflux d'eau de condensation n'étant plus compensé par un i écou-. lement vers la chaudière, le niveau montait clans le tube
109
Tuyau de 30 mm intérieur 10
extérieure
kilogn
6,0
5,2
9,8
6,5
Ce sont les points figuratifs c, d des diagrammes. Leur comparaison entre eux et avec le point a montre que le taux de condensation augmente à mesure que le diamètre