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DE L'EMPLOI DES BOULONS A CHARNIÈRE
POUR MAINTENIR LES OBTURATEURS AMOVIBLES
d'une rupture d'un des côtés d'une 'encoche pour compro2
mettre l'attache, d'un glisSement de peu d'amplitude pour faire échapper l'écrou ; et rien ne s'opposait à ce
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glissement, sinon un frottement qui pouvait être surmonté par un déversement résultant d'un commenéerhent
déformation du couvercle ou d'un fléchissement de la patte. Or précisément les pattes n'étaient pas assez solides ni le couvercle capable de résister sans danger d'avarie aux ,efforts de flexion que ces pattes exerçaient sur lui. C'est 'ce 'que les faits avaient prouvé dès avant l'accident. Bien que l'appareil datât seulement dé 1888, cinq pattes avaient
déjà dû être remplacées, s'étant brisées en travers ; et une contre-pièce de On',12
01'1,37, indiquée en pointillé
sur la fig. 7, avait été mise au couvercle à la suite d'une fissuration entre les rivets d'une patte. Les pattes neuves avaient leur face supérieure plane. so_
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Quant au plus petit des deux récipients, son diamètre intérieur étaitlm,35, et 'sa capacité 2'13,3. La constitution
FIG.
en était analogue ; toutefois l'emplacement du joint de caoutchouc, au sommet de la partie fixe, n'était pas limité
par une saillie circulaire du FIG. 6.
côté de l'intérieur du vase, et la disposition, fort mauvaise, était celle représentée par
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la fig. 6. Ce récipient, qui datait de 1884, n'avait subi aucune réparation jusqu'au jour de l'accident.
Il paraît qu'on venait de constater aux manomètres de ces appareils une pression de 2,75 kilogrammes par centimètre carré, conforme à la pratique ordinaire des opéra-
0.1r9
FIG. 8.
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FIG. 9.
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