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MACHINES A VAPEUR DES
GROUPES ÉLECTROGÈNES
touche s ; l'axe o de ce le ier pon est fixé à la pièce m qui est folle sur l'axe a et articulée sur la biellette de commande b. La brancln n du levier pon est appuyée contre le levier / par un ressort plat r, qui détermine l'entraînement ; une tige k, reliée au régulateur, pousse à un moment donné la branche p et produitle déclenchement qui ramène l'obturateur à sa position de fermeture. Les tiges de déclenchement k, k\ qui agissent respectivement à chaque extrémité du cylindre (fig. 23), reçoivent leur mouvement d'une bielle d'excentrique A, dont le chariot est claveté sur FIG. 23. l'arbre, par l'intermédiaire du levier /et des deux leviers g, g'. Les axes d'oscillatic a de ces leviers g, g' font corps avec les écrous d'une vis ï deux filets en sens inverse,
sur laquelle agit la douille du régulateur à force centrifuge, au moyen d'un parallélogramme de leviers u. Tout
A
L'EXPOSITION
DE
1900
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cet ensemble est bien compris et fonctionne d'une manière satisfaisante. Le système Corliss, qui était primitivement réservé aux machines horizontales, a été appliqué aux machines verticales. Les obturateurs sont placés dans les fonds de cylindres, comme le montre m fig. 24. Les parties F des fonds de cylindres, qui doivent servir à l'admission de la vapeur, sont reliées par le tuyau T ; les parties F' communiquent par le tuyau E, qui reçoit la tubulure d'échappement. Ainsi que nous l'avons dit, les systèmes de distribution du genre Corliss étaient employés non seulement pour les machines monocylindriques, mais pour les machines compound et même pour les machines à triple expansion, tels que le moteur Dujardin. Dans ce cas, les obturateurs d'admission des cylindres à basse et à moyenne pression peuvent avoir un mouvement d'oscillation continu analogue à celui des obturateurs d'échappement, et si l'on conserve le système à déclic, le déclenchement peut être produit par une butée réglable à la main. DISTRIBUTION
PAR
SOUPAPES.
Un mode de distribution, qui s'est beaucoup répandu dans ces dernières années, particulièrement en Allemagne, en Belgique et en Suisse, consiste dans l'emploi de quatre soupapes, actionnées séparément comme les' quatre obturateurs du système Corliss. Avec des soupapes équilibrées à double siège, d'un diamètre assez grand, on est arrivé à laisser à la vapeur un passage suffisant sans levée exagérée, et on a pu obtenir des fermetures assez brusques sans choc appréciable. Dans cet ordre d'idées, on a même fait, pour des cylindres de grand diamètre, des soupapes à quadruple siège, dont on pouvait voir des spécimens à l'Exposition,