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NOTE SUR LES PRINCIPAUX APPAREILS
ÉVITE-MOLETTES
l'électro-aimant k course T (Pl. XV), qui commande la soupape de mise à l'échappement du cylindre de desserrage U du frein. Les parties mobiles du mécanisme, auxquelles s'ajoute l'action d'un poids additionnel déterminé V, se déplacent en déterminant un serrage sur la jante de la poulie de frein. Le poids V est calculé pour
vitesse de la machine est descendue à une valeur assez, faible pour que celle de la cage montante soit inférieure à. 3 mètres par seconde, vitesse pour laquelle la mise en action du frein instantané n'aura pas de conséquencesfâcheuses. Si l'on voulait faire fonctionner aussi l'appareil pendant l'extraction des produits, ce qui pourrait être nécessaire au cas où on supprimerait l'obturateur, on pourrait maintenir le régulateur à la même vitesse de rotation, soit au moyen d'un double jeu de poulies et de courroie» respectivement appropriées aux deux régimes de marche de la machine, soit encore en conservant le jeu de commande unique et en ajoutant, pour l'extraction des produits, une résistance additionnelle constituée par un second ressort qui retarderait, dans les nouvelles limites prévues, et la levée du manchon du régulateur et son arrivée à fond de course en haut. L'inventeur a prévu aussi l'addition d'une cataracte à. huile solidaire des mouvements du manchon, pour éviter des soubresauts brusques pour le cas d'application à dèsmachines à démarrages très rapides. L'indicateur de position des cages peut évidemment être quelconque. M. Sohm a adopté l'indicateur vertical, imaginé par M. Bilhaut, chef d'atelier à la Compagnie de Bruay, et décrit dans le numéro d'octobre 1899 du Bulletin technologique de la Société des anciens élèves des Ecoles d'Arts et Métiers, dans lequel une seule vis à filets contraires et à pas rapides sert au déplacement simultané des deux index représentant les deux cages. L'indicateur se monte directement sur la borne du mouvement de sonnerie. Il convient, pour qu'il assure avec précision l'attaque des interrupteurs, que la course totale
que ce serrage s'effectue avec une énergie égale à
—
de
celle qui produit le serrage instantané, calculée ellemême de manière à dépasser de 20 à 25 p. 100 le moment de démarrage maximum des machines jumelles. On vérifie d'ailleurs que, dans ces conditions, on dispose bien, avec le frein gradué, d'une puissance de freinage engendrant un travail résistant supérieur de 15 à 20 p. 100 à celui que déterminerait !e moment négatif maximum correspondant à la fin d'une cordée servant à la descente du personnel avec une cage descendante pleine d'hommes et une cage montante vide; si cette deuxième condition n'était pas remplie, on augmenterait la puissance du , 11 i-m frein gradué, en 1 élevant à - ou ? de celle du frein mstantané. Le régulateur, choisi à dessein aussi simple que possible, est actionné par l'arbre même des bobines, au moyen d'une courroie passant sur deux poulies, dont l'une s'embraye ou se débraye à volonté par une simple manœuvre d'un levier sous la main du mécanicien. Le diamètre des poulies de transmission et le ressort interposé au-dessus du manchon mobile sont choisis de telle sorte que le régulateur soit, dans la translation des hommes, au haut de sa course dès que la vitesse de la machine dépasse de — la vitesse normale correspondant! 10 à une vitesse de 7 mètres environ pour la cage montante, et qu'il ne revienne au bas de sa course que lorsque la
des index ne soit Jjamais inférieure à ~- de la course 250 des cages. Il faut aussi, pour que l'appareil fonctionne