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LE LABORATOIRE DE MÉCANIQUE
supports appliqués contre les mordaches ; ce fil fait tournerun tambour de grand rayon sur lequel un style enregistre les efforts ; ce procédé de mesure de l'allongement donne une erreur légère et facile à corriger. 2° Une presse de 5 tonnes [fig. 1 ci-dessous) pour les essais par compression, cisaillage, empreinte de bille. La. commande se fait à la main, et un enregistreur donne la course du piston et l'effort produit mesuré par la déformation amplifiée du bâti. La machine est tarée à l'aide decrushersen cuivre, fournis par le service de l'artillerie.-
FIG .
DE L'ÉCOLE NATIONALE
SUPÉRIEURE DES MINES
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et un accumulateur à charge variable. Cette presse sert aux essais de poinçonnage et de rivetage.
1. — Presse de 5 tonnes avec enregistreur amplifiant la déformation élastique du bâti.
3° Un mouton double pour les essais au choc, du système Frémont (fig. 2). Les masses frappantes pèsent respectivement 10 et 15 kilogrammes, et peuvent être élevées à 4 mètres. Après rupture, au premier coup, de l'éprouvette soumise au choc, la masse frappe un ressort, dont la compression mesure la force vive restante de cette masse et, par différence, celle qui a été consommée dans l'essai. 4° Une presse hydraulique de 100 tonnes (fig. 3, Pl. XI), à enregistreur, avec une pompe à commande mécanique
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- ~ Mouton double mesurant la force vive restante du mouton: partie inférieure.
5° Une petite machine à polir les métaux, commandée au pied.