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LES EXPÉRIENCES DE GELSENKIRCHEN-BISMARCK
En particulier, dans la protection par tamis, il ne faut mm pas, comme on l'a vu, que les fentes aient moins de 50 mm de profondeur et plus de 0 ,5 d'ouverture. F.
— L'ENVELOPPE A PLAQUES EMPILÉES.
En se basant sur les résultats de la protection par enveloppes et à brides, et en cherchant à assurer en même temps la ventilation des appareils, on est arrivé à imaginer l'enveloppe à plaques empilées, qui équivaut à plusieurs brides juxtaposées.
SUR LES MOTEURS ET L'APPAREILLAGE ÉLECTRIQUES
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mm
ce qui laissait aux fentes une longueur de 50 et un orifice mm2 -d'écoulement de 157 par rondelle (fig. 44, 45). On a essayé successivement en mélange fort depuis cinquante jusqu'à trois a 6 •Xplaques empilées, donnant des orifices d'écoulement de 7 . 850 à 471 mm2 ; dans ce FIG. 45. dernier cas, les plaques étaient fortement chauffées, sans arriver cependant au rouge; les courbes des pressions sont données par la fig. 46.
Inflammation au poiat h — d° -
, H ■
FIG .
a
46.
En plaçant cinquante plaques sur chacune des faces de mm2 la bombe, on a réalisé un orifice total de 15.700 , sans que les indications de sécurité cessent d'exister.
FIG.
44.
Les essais avec la bombe ont été faits en empilant des rondelles de tôles de 0 mm ,5 d'épaisseur, maintenues par mm de petites rondelles à 0 ,5 d'intervalle. Leur diamètre intérieur était de 100 mm , leur diamètre extérieur de 200 mm ,
Enfin, un essai fait sur une grande caisse imparfaitement étanche, de 300 litres de capacité et munie de piles de plaques sur deux de ses faces (fig. 47), a été également satisfaisant. Dans ces deux derniers essais, l'indicateur n'a révélé aucune pression appréciable. Le dispositif s'est aussi bien comporté avec les mélanges faiblement explosifs qu'avec les autres. Tome X, 1906.
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