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LES EXPÉRIENCES DE GELSENKIRCHEN-BISMARCK SUR LES MOTEURS ET L'APPAREILLAGE ÉLECTRIQUES
On s'aperçut que les intervalles entre les plaques n'étaient pasréguliers, mais atteignaient par endroits 1 millimètre. On dut mettre des tôles planes ordinaires, qui sont représentées sur la. fis- 54-
Les propriétés se résument comme il suit : Si l'on emploie des plaques de tôle deO mm ,5 d'épaisseur minima, de 50 mm de largeur minima suivant le parcours du gaz, à 0 mm ,5 d'é'cartement maximum, et que le reste de l'enveloppe soit calculé pour résister à une certaine surpression, on peut réaliser une sécurité complète. Celle-ci est indépendante en particulier de la contenance de l'enveloppe, de la section d'écoulement, laquelle est proportionnelle au nombre des plaques et à leur périmètre intérieur, de la position du point d'inflammation, et de la disposition du mélange gazeux. Plus l'orifice d'écoulement est grand, plus grand est l'effet refroidissant des plaques, plus faible la pression que doit supporter l'enveloppe. Les défauts d'étanchéité de l'enveloppe, autres que des fentes a larges bords, sont très dangereux. La perignition est rare, et n'est de quelque durée qu'avec une très forte ventilation artificielle. La sécurité de l'enveloppe n'en est pas influencée. G.
FIG'.
Tous les autres détails du moteur étaient particulièrement soignés. Les fig. 52 et 34 montrent les dispositifs de protection adoptés pour la traversée de l'arbre et des inducteurs.
Résumé des propriétés des plaques empilées. — On voit par ces premiers résultats que la protection par enveloppes à plaques empilées est susceptible, à condition d'y mettre le soin voulu, de donner d'excellents résultats.
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— LA PROTECTION PAR IMMERSION DANS L'HUILE.
Il nous reste à mentionner un dispositif protecteur d'un ordre tout à fait différent des précédents, l'immersion 'dans l'huile. Ce mode de protection n'est autre que celui déj à en usage pour un certain nombre d'appareils, interrupteurs, transformateurs, etc., dont il augmente la sûreté de fonctionnement. Employé dans les milieux grisouteux, il doit tout d'abord répondre à la condition que le niveau de l'huile ne permette pas aux étincelles ou aux pièces qui rougissent de se trouver exposées à l'air pendant le cours des manœuvres ou par suite des mouvements qui peuvent être imprimés aux appareils. On s'est donc proposé de déterminer la couche d'huile