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MARCEL BERTRAND CREUSEMENT DES POlTS DU SIÈGE ÉDOUARD-AGACHE
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observations sur la tectonique de la chaîne de la Nerthe lé), p. 264. 133. Etudes sur les bassins houillère. Bassin houiller du Gard: Ann. des Mines, 9 e série, t. XVII. p. 505.
SUR LE
CREUSEMENT DES PUITS
CARTES GÉOLOGIQUES.
DU SIÈGE ÉDOUARD-AGACHE
1 Feuilles de la Carte de l Etat-Major à _„ • J HO. 000
PAR CIMENTATI0N DES ASSISES AQUIFÈRES
Feuille de Gray (1880), avec feuille de coupes. Par M. SACLIER, Ingénieur en Chef des Travaux du fond de la Compagnie des Mines d'Anzin.
Feuille de Besançon (1881). Feuille de Lons-le^Saunier (1884). Feuilles de Toulon et de la Tour-do-Carnarat(1886). Feuille de Pontarlier (1887). Révision partielle de la feuille de Nantua. Feuille de Marseille (1891), en collaboration avec M. Depéret. Feuille d'Annecy (1894), en collaboration avec MM. Michel-Lévy, Haug, Maillard, Renevier. Feuille de Saint-Jean-de-Maurienne (1893). en collaboration avec MM. Potier, Termier, Kilian, Offret. Feuille de Bonneval (1893), en collaboration avec M. Termier. Feuille d'Albertville (1897),
en collaboration avec
MM.
Haugj
Kilian, Lugeon, Offret, Paquier, Ritter. Feuille de Tignes (1899), en collaboration avec M. Termier.
Collaboration au panneau géologique des Alpes françaises (Exposition universelle de 1900), avec MM. Termier et Kilian. Collaboration à l'établissement de la carte géologique de la France à l'échelle du millionième, 2 e édition (1903).
Historique. — L'idée d'aveugler par le ciment les venues d'eau souterraines dans certains travaux est très ancienne, et, sans quitter l'art des mines, il nous suffit de rappeler : le remarquable travail exécuté en 1882 par M. Reumaux qui a pu, en injectant du ciment par un sondage, aveugler aux mines de Lens une importante venue d'eau dans un faux-puits en creusement et y établir un serrement; le moyen ingénieux imaginé en 1899 par M. Henri Portier, ingénieur aux mines de Courrières, pour calfater les cuvelages en faisant à l'extrados de ce revêtement des injections de ciment. En 1900 et pendant les années suivantes, de très nombreuses applications du cimentage des cuvelages furent faites tant dans les bassins du Nord et du Pas-de-Calais qu'à l'étranger. Partout le succès fut complet et les fuites d'eau des cuvelages, si gênantes dans les puits, furent aveuglées avec une grande facilité. De là à l'idée de cimenter les terrains aquifères pour faciliter le fonçage des puits il n'y avait qu'un pas. Dès 1900, la Compagnie d'Anzin étudiait l'application Tome XIII. 1908.
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