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DISCOURS PRONONCÉ AUX FUNÉRAILLES DE M. LORIEUX
l'un de ses gendres avait répandu sur la science. Comment aurait-il pu croire, lui jusqu'alors si heureux, qu'une grande douleur dût lui venir de là. Il succombe quelques mois après Becquerel comme s'il n'avait pu supporter le coup de sa mort. Il s'est éteint en sage quipart avec sérénité lorsqu'il sent qu'il a bien rempli sa tâche, laissant seulement aux siens et aux amis l'amertume de la séparation. Il fut et par sa vie et dans la mort le type du parfait « honnête homme » d'autrefois, et à ce titre nous conserverons précieusement sa mémoire.
SUR LES ESSAIS DE VERRES DE LAMPES DE MINES
COMMISSION PERMANENTE
DES
RECHERCHES
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SCIENTIFIQUES
Sur le grisou et les explosifs employés dans les mines.
SUR LES
ESSAIS DE VERRES DE LAMPES DE MINES
RAPPORT PRÉSENTÉ A LA COMMISSION Par M. G. CHESNEAU, Ingénieur en chef des Mines, Secrétaire de la Commission.
Les études récentes, faites par la Commission sur les manchons de verre pour lampes de sûreté, provenant des cristalleries de Baccarat et d'Iéna, ont montré que l'on a pu accroître considérablement la résistance de ces verres à réchauffement et au refroidissement brusques, grâce à l'adoption de compositions nouvelles diminuant la dilatation du verre, ou augmentant son élasticité (voir nos rapports présentés à la Commission et insérés dans les 3 e et 5 e livraisons des A nnales des Mines de 1908). D'autres fabriques ont également obtenu des verres de haute résistance, comme l'ont établi les expériences de MM. Watteyne et Stassart, publiées dans les Annales des Mines de Belgique (t. XI), et l'on peut considérer que la production de ces verres est assurée désormais d'une façon courante. En raison de la difficulté qu'apporte dans leur travail leur composition spéciale, ces verres nouveaux ont un Tome XV, 1909.
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