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RAPPORT
DE
MISSION
à l'heure, une chaufferie ei une salle de machines d'une puissance de 9.000 kilowatts, portée à la fin de 1910 à 12.200 kilowatts.
pi
SDR
LA
DISTRIBUTION
DE
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L'ÉNERGIE
Les chaudières (ftg. 25) sont au nombre de 12, de 400 mètres cubes de surface de chauffe chacune, sauf deux d'entre elles qui ont 300 mètres cubes. Elles sont respectivement des types Babcocket Wilcox, Guilleaume et Petry-Dereux, et timbrées à 12 atmosphères ; elles sont à grilles mécaniques, sauf les deux petites, et à surchauffe, et comportent 4 économiseurs. Il y a 2 cheminées de 76 mètres de hauteur et 3 m ,50 de diamètre libre au sommet. L'eau d'alimentation est une eau de source pure du trias. Il y a 3 pompes d'alimentation, plus un réservoir de secours permettant d'avoir l'eau à 20 atmosphères et un épurateur de réserve. L'installation des turbines (/?(7. 26) comporte 3 turbines de 3.000 kilowatts et 2 de 3.200 kilowatts toutes du type Curtis-A. E. G. à tuyères indépendantes, avec excitation en bout d'arbre, marchant à 1.500 tours et fournissant le courant à 10.600 volts; chaque turbine a sa condensation à surface, placée immédiatement au-dessus, grâce à la disposition des massifs de fondation. L'eau de refroidissement est empruntée à la Sarre. Le courant à basse tension pour la centrale est fourni par 2 transformateurs de 500 KVA à 220 volts ; l'un d'eux sert de réserve ; Le courant de manœuvre des appareils du tableau et d'éclairage de secours est assuré par une batterie d'accumulateurs de 154 ampères-heure. Il y a doubles barres omnibus. La protection des turbines est assurée contre les courants de retour seulement. Dépense de premier établissement. — Pour les premiers 9.000 kilowatts:
Cette installation est prévue pour une extension ultérieure. Tome XX, 1911.
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