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LES CATASTROPHES DES PUITS WEST STANLEY ET PRETORIA
BULLETIN
363
NOMBRE
des
LES
CATASTROPHES DU PUITS WEST STANLEY [.
(16
Intérieur des travaux.
Accidents survenus dans les puits, tourets ou descenderies servant d'accès aux ira vaux souterrains.
A l'occasion de (Par câbles, cages, cuffats, etc la translation J Par échelles des ouvriers (Par fahrkunst Par éboulemenls, chutes de pierres et corps durs...
Dans d'aulrqs circonstances
10
11
FÉVRIER
1909)
ET DU PUITS PRETORIA (21
■
Accidents survenus dans les puits t . ,. j *•« intérieurs et les cheminées d exploi- I pa| I ™ ecneiies.
( Dans d'autres circonstances
DÉCEMBRE
1910)
Par M. J. TAFFANEL, Ingénieur des Mines, Directeur de la Station d'essais de Liévin.
tat on
Eboulements (y compris les chutes de pierres et do blocs de houille, etc.) dans les chantiers et les voies „ / aux coups de mines ••• mtlam- \ appareils i Ouverture de lampes. . Accidents Dégageaux mations . . g / néfectuosités,bris,etc. causés ment d éc)ajra e ! à des causes diverses ou inconnues. . . normal par Asphyxies par le dégagement normal de grisou. le grisou 1 d'inflammations et les ■cmcnts M'asphyxies, de projections de charbor poussières instantanés suivis j ^£ ,. . . ,\ pie rcs
Asphyxies par d'autres
17.
INTRODUCTION.
e(0
qu
Coups d'eau I Minage ( Autres causes
Emploi d'explosifs
Transport et circulation des ouvriers
Sur voies de niveau ou peu inclinées. Sur voies inclinées (hommes et chevaux où le transport ) treuils ou poulies., se fait par (traction mécanique
33
28
Causes diverses.
Totaux pour l'intérieur.
213
108
Surface (et dépendances classées). Chutes dans les puits Manœuvres des véhicules Machines et appareils mécaniques. Causes diverses
Totaux pour la surface.
Totaux généraux.
28 241
|36 124
(Extrait de la Statistique des industries extractives et métallur giques et des appareils à vapeur en Belgique, pou Tannée 1909. Bruxelles, 1910.)
Les études expérimentales sur les inflammations de, poussières de houille, poursuivies depuis quatre ans à la Station d'essais de Liévin, conduisent de jour en jour à une connaissance plus précise des conditions d'inflammation et de propagation, à une conception plus nette et plus exacte de la valeur relative des diverses méthodes préconisées pour lutter contre le danger des poussières. Une autre idée se dégage peu à peu de ces travaux. On savait que le problème des poussières était complexe et que l'allure ou la possibilité de la propagation devaient dépendre de nombreuses variables, au nombre desquelles on comptait la composition, la finesse,, la quantité des poussières en dépôt, le degré d'humidité de l'air, sa teneur en grisou, la vitesse et le sens du courant d'air, la section et la forme de la galerie, la nature de ses parois ; on y ajoutait les variables concernant la cause d'inflammation, et parfois quelque variable d'une nature un peu plus subtile, telle que le degré d'oxydation de la poussière ou la structure physique des particules. Les études expériTorae XX, 11* livraison, 1911.
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