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/"ItAITÈMEXY 3o6 caution, la surface devenant très-dure, le travail irait Moins bien. La croûte qui recouvrait la surface étant rompue, le SChlich se trouve de nouveau en contact avec. l'air; le soufre se brûle, et une partie
s'en' dégage encore en acide sulfureux; aussi la quantite de fumée s'accroît-elle.
A 3 heures on a çessé le travail à la première porte, et le premier ouvrier s'est placé à la porte du milieu ou deuxième porte; il a com-
mencé par relever le schlich qui s'était répandu auprès de la percée; puis, avec la spadèle , il a remué_ la matière avec les mêmes précautions que précédemment. On a continué d'augmenter le feu peu-à-peu, après avoir mis dans le fourA 3 heures neau deux ou trois morceaux de bois vis-à-vis la deuXième et la troisième portes ( ce bois est destiné'à élever la température dans les parties où on le met, afin de rendre, le -plirs qu'il est possible, la chaleur uniforme), on a fermé la deuxième ouverture, le troisième ouvrier, s'étant placé à la dernière, a opéré comme les précéciens; mais les matières étant peu chaudes danscette partie, il a promptement, eessé son travail,.puis a fermé sa porte.
A 3 heures le deuxième ouvrier s'est remis à la première ouverture, pour mélanger de
nouveau les substances qui s'étaient déjà recouvertesRune çouçlne-de sulfate. Les.49is ouvriers pour.mivent ainsi, travaillant successivement aux trois portes, ayant soin de mettre du bois vis-à-vis les deux dernières, , , niais sur-tout vis-à-vis la troisième, ,et relevant avec Soin tout ce qui tombe dans la percée.
btJ sutrunÈ bE PLOMB.
30,7
Pendant tout ce temps, le grillage continue;
se dégage de l'acide sulfureux, il se forme du Sulfate de plomb, et déjà'le métal commence à Couler par suite du mélange continuellement opéré.: la sole n'est point encore ramollie, et les matières.tr'y sont pourt -encore collées. -
lePloMp continue à couler,
mais I9iijours peu .aponclànpuent; on peut trèsbien remarquer Clans ce moment, mais sur-tout une heure ou une heure )27' 'plus tard, la manière dont ie plomb se sépare; lorsqu'on mélange les matières qui étaient sèches et e' donnaient point
de .plomb, elles deviennent sur-le-chanip pà-
teuses et le plomb qui.eU.résulte gagne Je bassin dès que l'ouvrier, en cesSant de brasser, lui
pexwee.de.sécotiler:
heir`res. la flamme se portait: jusque vis-vis Yo'nverture du milieu, et même quelquefois ,
Plus kin'. On entretient le feu:- à-peu-près au.
même degré, jusqu'à. ce que l'on ait- obtenu en-, -vi.ren. la moitié du plombe c'est-à-dire.p4sque jusqu'à .opération du ressuage. Quoique la température soit assez élevée, les ,
,
matières, même vers la chauffe, sont peu pâteuses; celles qui 'viennent d'être remuées sé sèchent pour ainsi dire en perdant leur plomb. On
pourrait encore accroître la -chaleur jusqu'à un certain..'Pirint, sans craindre de déterminer -la fusion, Seulement alOrs-
.sur face se couvre de flainmeSlé:gères, d'un blanc bleuâtre, dues .à la combriStion du soufre; elle se-sèche et forme une croûte dure de sulfate de plomb; mais alors il est difficile de bien conduir pération, et le plomb qui'en'résulte est un Peri sulfuré, comme celui que-Pori retire dela slernière coulée. Dans -des Y2