Annales des Mines (1817, série 1, volume 2) [Image 179]

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ert LA VERTU MA GrdTIQUE.

SUR LA VERT

d'agir immédiatement sur l'aiguille, ou s'il est combiné avec quelque autre principe qui s'oppose à l'exercice de son magnétisme, comme

dans le fer arsenical et le fer sulfuré,

GNÉTIQtE,

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qu'il exerce sur le..elé austral est répulsive. Mais parce qu'il agit de plus loin, nous pouvons considérer l'aiguille comme étant uniquement sollicitée par la force du pôle boréal du

il suffit

de faire Cliaiiffér pendant Un instant à la flamme

globe, en raison de l'excès de cette force sur celle de l'autre pôle.

d'une bougie un petit fragment du morceau dont il s'agit, pour le rendre magnétique. On. est quelquefois obligé, en pareil cas d'em ployer l'action du chalumeau. Mais ordinairement on peut s'en dispenser. Pour assurer le succès de ces sortes d'expériences, il faut avoir une aiguille de bon acier fortement aimantée dont la chape sôit d'agathe ou de cristal cl-è roche, et le support sur lequel on le suspend doit être terminé par une pointe très-déliée; L'aiguille dont je me sers à la figure d'un 16.; zange, et sa longueur est de 94 millimètres, environ 3 polices 6 lignes. Avant d'alter phis loin il est. nécessaire dé donner une idée de la manière dont s'exercent

Concevons tnaintcnant que l'aiguille s'écarté

un peu du plan de son méridien magnétique, sa force directrice (i) agira aitsSitôt pour l'y ramener. Concevons de plus que cette déviation

de l'aiguille ait été produite par l'action d'une petite quantité de fer contenue dans un corps quel'ondurei placé très-près du centre d'action australe de l'aiguille, il faudra que la première action soit. é-gàlë;:à Celle de la force directrice qui dans ce mentent sollicite l'aiguille, phis à -la petite réàleance qui a n6cessairement lieu

au point de-stiSpension de l'aiguille. Or, il peut: bien arriver que la quantité de fer con-

tenue danSle corps soumis à l'expérience soi que sl légère; ôn telleinent chargée d'oxigène' son actien soit inférieure 'a la somme des deux c fions , dont l'ïineserait produite par la réindiquée, etTautre par la forcé sistanceique écartée sous un ann-le directrice de b., un peu sensible de son méridien. magnétique, et

les forces qui maintiennent l'aiguille dans le plan

dei son méridien Magnétique. Je Suppose ici cette aiguille située dans notre Climat, où elle est plus voisine du pôle boréal de notre globe que de son pôle atistral. Le fluide qui réside dans le prmeier agit pât Éitteaction sur le pôle austral de l'aiguillé (Os ét par répulsion sur son pôle boréal. C'est le eitintFaire par rapport au pôle austral dti globe Son action: Sur le pôle boréal de l'aiguille et attractive, et celle

dans cette hypôthèse On entend pi!r, force directrice, celle qui agit perpendicnÉirement 4.11.: 1'4%i:tige dérangée du plan de son méridien;

pour la raineliér à Ce, ,pfan. On suppose cette forceappliquée

à un point àittié entré lé milieu de l'aiguille et l'extrémité

(1) Je rappellerai ici que l'extrérinté dé l'aiguille qui regarde

qui, eègarde ln pôle dont elle est phis voiSinte-, lorsqu'ellé est abandonnée à elle-même. M. Coulomb a prouvé que la foicé

le nord, lorsque cette aiguillé est dans le plan de son méridien magnétique', doit porter le norrit de p4le austral, et

directrice est proportionnelle au sinus de l'angle que fait l'aiguille écartée de sa direction natutelle avec cette méme

rextréinité" opFcTS-éél Célii de pôle boréal. 'Voyez le Traité

élémentaire de Ple=sriïde

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6iiie li,IS4è

direction.

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